Association genevoise du musée des tramways
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... |
Catégories
Affiner la recherche Interroger des sources externes
L'apport en matériel moteur des chemins de fer secondaires à voie métrique aux réseaux touchés par la guerre 1914-1918 / Bernard Rozé in Chemins de fer régionaux et tramways, N° 382 (juillet/août 2017)
[article]
Titre : L'apport en matériel moteur des chemins de fer secondaires à voie métrique aux réseaux touchés par la guerre 1914-1918 Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Rozé, Auteur ; Georges Mangin, Photographe Année de publication : 2017 Article en page(s) : P. 4-21 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Mutation
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Réquisition
[Mots-clefs] Tramway
[Compagnie] BA (France)
[Compagnie] BPPP
[Compagnie] CA (Ardennes)
[Compagnie] CBR
[Compagnie] CDA
[Compagnie] CFC (Centre)
[Compagnie] CFD
[Compagnie] CFN (Normandie)
[Compagnie] CFV (France)
[Compagnie] CRL
[Compagnie] CSA (Aisne)
[Compagnie] EC
[Compagnie] EL (Eure-et-Loir)
[Compagnie] POC
[Compagnie] POM
[Compagnie] SE (France)
[Compagnie] SF (France)
[Compagnie] SGTE
[Compagnie] TDCO (France)
[Compagnie] TELC (Loir-et-Cher)
[Compagnie] TIV
[Compagnie] TMD
[Compagnie] TNL
[Compagnie] TTG
[Compagnie] VFEP
[Année] 1914-1918Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : Durant la première guerre mondiale, pour venir en aide aux chemins de fer jouxtant les diverses zones de combat, des quantités de locomotives, voitures et wagons furent réquisitionnées auprès des réseaux secondaires français. Tour d'horizon du matériel moteur concerné.
in Chemins de fer régionaux et tramways > N° 382 (juillet/août 2017) . - P. 4-21[article] L'apport en matériel moteur des chemins de fer secondaires à voie métrique aux réseaux touchés par la guerre 1914-1918 [texte imprimé] / Bernard Rozé, Auteur ; Georges Mangin, Photographe . - 2017 . - P. 4-21.
Langues : Français
in Chemins de fer régionaux et tramways > N° 382 (juillet/août 2017) . - P. 4-21
Catégories : [Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Mutation
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Réquisition
[Mots-clefs] Tramway
[Compagnie] BA (France)
[Compagnie] BPPP
[Compagnie] CA (Ardennes)
[Compagnie] CBR
[Compagnie] CDA
[Compagnie] CFC (Centre)
[Compagnie] CFD
[Compagnie] CFN (Normandie)
[Compagnie] CFV (France)
[Compagnie] CRL
[Compagnie] CSA (Aisne)
[Compagnie] EC
[Compagnie] EL (Eure-et-Loir)
[Compagnie] POC
[Compagnie] POM
[Compagnie] SE (France)
[Compagnie] SF (France)
[Compagnie] SGTE
[Compagnie] TDCO (France)
[Compagnie] TELC (Loir-et-Cher)
[Compagnie] TIV
[Compagnie] TMD
[Compagnie] TNL
[Compagnie] TTG
[Compagnie] VFEP
[Année] 1914-1918Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : Durant la première guerre mondiale, pour venir en aide aux chemins de fer jouxtant les diverses zones de combat, des quantités de locomotives, voitures et wagons furent réquisitionnées auprès des réseaux secondaires français. Tour d'horizon du matériel moteur concerné. Les autorails diesel-électriques Brissonneau et Lotz / Elie Mandrillon in Transports et patrimoine ferroviaires, N° 414 (Novembre/Décembre 2022)
[article]
Titre : Les autorails diesel-électriques Brissonneau et Lotz Type de document : texte imprimé Auteurs : Elie Mandrillon, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 4-26 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Allemagne de l'Est
[Mots-clefs] Aménagement intérieur
[Mots-clefs] Anjou
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Brissonneau & Lotz
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Charente (département)
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Côtes-du-Nord
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Finistère
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gazogène
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Livrée
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Morbihan
[Mots-clefs] Panne
[Mots-clefs] Traction Diesel
[Mots-clefs] Traction électrique
[Mots-clefs] Vosges
[Compagnie] CdN
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFDF
[Compagnie] CFS (France)
[Compagnie] CFSNE
[Compagnie] CM (Morbihan)
[Compagnie] DR (RDA)
[Compagnie] EC
[Compagnie] SE (France)
[Année] 1893-1976Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : A la fin du 19e siècle, la vapeur règne en maître dans les chemins de fer mais ses contraintes et son faible rendement poussent les compagnies à rechercher d'autres systèmes. La traction électrique nécessite de lourdes infrastructures et des essais sont menés en 1894 avec une locomotive vapeur-électrique. Le système se révèle lourd et complexe. Le moteur à explosion reste le seul qui permet de se passer des contraintes de stockage de l'énergie ou de sa distribution tout au long de la ligne. Son rendement médiocre est compensé par la capacité énergétique et le faible prix du carburant. Au début du 20e siècle apparaissent les premiers véhicules thermo-électriques. L'utilisation de l'électricité permet de se passer des fragiles organes de transmission mécanique, mais le rendement est environ 25% plus faible qu'avec une telle transmission. Les premiers autorails diesel-électrique de Brissonneau et Lotz sont fournis au réseau SE de l'Anjou en 1934. Dans la seconde moitié des années 1940, le réseau ferme et les autorails sont revendus aux Chemins de fer du Doubs. A la fermeture des dernières lignes du réseau en 1952, ils sont démolis. La Compagnie des chemins de fer d'intérêt local du Morbihan acquiert également des autorails Brissonneau et Lotz en 1935. A la fermeture du réseau en 1947, les autorails subsistants sont vendus au réseau voisin des Côtes-du-Nord. Mais les moteurs fatigués par le manque d'entretien durant la guerre et l'inexpérience du personnel avec la traction électrique conduisent rapidement à leur transformations en remorques. A la fermeture du réseau en 1956, celles-ci sont vendues à l'armée pour utilisation en Afrique du Nord. La Compagnie des chemins de fer économiques des Charentes acquiert 7 autorails en 1936. La fermeture du réseau est décidée deux ans plus tard, mais retardée par la guerre. La pénurie de carburant conduit à l'arrêt des autorails en septembre 1940. Leur transformation avec un gazogène se heurte à de nombreuses difficultés. Trois autorails sont vendus à l'Allemagne en 1942-43, un au réseau du Finistère, deux sont démolis suite aux bombardements de la gare d'Angoulême en 1944 et le dernier reprend du service en 1945 jusqu'à la fermeture du réseau fin 1946. Le dernier des trois autorails partis en Allemagne circulera en Poméranie jusqu'à la fermeture de la ligne en 1971. L'autorail parti sur le réseau du Finistère est utilisé pour les transports de l'organisation Todt. Après la libération, il est remis en état fin 1945 et circule jusqu'à la fermeture du réseau en 1946. Il est vendu aux CdN en 1947, mais son état conduit rapidement à sa transformation en remorque. Celle-ci est également vendue à l'armée à la fermeture du réseau. Le dernier autorail resté sur le réseau des Charentes est acquis par la Compagnie des chemins de fer secondaires du Nord-Est et reprend du service en 1949, jusqu'à la fermeture de la ligne en 1950. Il sera feraillé quelques années plus tard, les tentatives de revente n'ayant pas abouti. Dans les Vosges, la CFS met en service en 1937 un autorail Brissonneau & Lotz sur la ligne de la vallée de Celles. Il y circule jusqu'à la fermeture en 1950. Malgré ses bonnes performance, ce matériel arrivé tardivement sur le marché des autorails à voie métrique ne parvient pas à s'imposer. Le prix d'achat plus élevé que celui du matériel à transmission mécanique ainsi que la nécessité de disposer d'un personnel électricien spécialisé se sont révélés des freins à une époque où les restrictions financières et les compression du personnel étaient la règle.
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 414 (Novembre/Décembre 2022) . - P. 4-26[article] Les autorails diesel-électriques Brissonneau et Lotz [texte imprimé] / Elie Mandrillon, Auteur . - 2022 . - P. 4-26.
Langues : Français
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 414 (Novembre/Décembre 2022) . - P. 4-26
Catégories : [Mots-clefs] Allemagne de l'Est
[Mots-clefs] Aménagement intérieur
[Mots-clefs] Anjou
[Mots-clefs] Autorail
[Mots-clefs] Brissonneau & Lotz
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Charente (département)
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Côtes-du-Nord
[Mots-clefs] Doubs (département)
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Finistère
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gazogène
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Livrée
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Morbihan
[Mots-clefs] Panne
[Mots-clefs] Traction Diesel
[Mots-clefs] Traction électrique
[Mots-clefs] Vosges
[Compagnie] CdN
[Compagnie] CFD (Doubs)
[Compagnie] CFDF
[Compagnie] CFS (France)
[Compagnie] CFSNE
[Compagnie] CM (Morbihan)
[Compagnie] DR (RDA)
[Compagnie] EC
[Compagnie] SE (France)
[Année] 1893-1976Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : A la fin du 19e siècle, la vapeur règne en maître dans les chemins de fer mais ses contraintes et son faible rendement poussent les compagnies à rechercher d'autres systèmes. La traction électrique nécessite de lourdes infrastructures et des essais sont menés en 1894 avec une locomotive vapeur-électrique. Le système se révèle lourd et complexe. Le moteur à explosion reste le seul qui permet de se passer des contraintes de stockage de l'énergie ou de sa distribution tout au long de la ligne. Son rendement médiocre est compensé par la capacité énergétique et le faible prix du carburant. Au début du 20e siècle apparaissent les premiers véhicules thermo-électriques. L'utilisation de l'électricité permet de se passer des fragiles organes de transmission mécanique, mais le rendement est environ 25% plus faible qu'avec une telle transmission. Les premiers autorails diesel-électrique de Brissonneau et Lotz sont fournis au réseau SE de l'Anjou en 1934. Dans la seconde moitié des années 1940, le réseau ferme et les autorails sont revendus aux Chemins de fer du Doubs. A la fermeture des dernières lignes du réseau en 1952, ils sont démolis. La Compagnie des chemins de fer d'intérêt local du Morbihan acquiert également des autorails Brissonneau et Lotz en 1935. A la fermeture du réseau en 1947, les autorails subsistants sont vendus au réseau voisin des Côtes-du-Nord. Mais les moteurs fatigués par le manque d'entretien durant la guerre et l'inexpérience du personnel avec la traction électrique conduisent rapidement à leur transformations en remorques. A la fermeture du réseau en 1956, celles-ci sont vendues à l'armée pour utilisation en Afrique du Nord. La Compagnie des chemins de fer économiques des Charentes acquiert 7 autorails en 1936. La fermeture du réseau est décidée deux ans plus tard, mais retardée par la guerre. La pénurie de carburant conduit à l'arrêt des autorails en septembre 1940. Leur transformation avec un gazogène se heurte à de nombreuses difficultés. Trois autorails sont vendus à l'Allemagne en 1942-43, un au réseau du Finistère, deux sont démolis suite aux bombardements de la gare d'Angoulême en 1944 et le dernier reprend du service en 1945 jusqu'à la fermeture du réseau fin 1946. Le dernier des trois autorails partis en Allemagne circulera en Poméranie jusqu'à la fermeture de la ligne en 1971. L'autorail parti sur le réseau du Finistère est utilisé pour les transports de l'organisation Todt. Après la libération, il est remis en état fin 1945 et circule jusqu'à la fermeture du réseau en 1946. Il est vendu aux CdN en 1947, mais son état conduit rapidement à sa transformation en remorque. Celle-ci est également vendue à l'armée à la fermeture du réseau. Le dernier autorail resté sur le réseau des Charentes est acquis par la Compagnie des chemins de fer secondaires du Nord-Est et reprend du service en 1949, jusqu'à la fermeture de la ligne en 1950. Il sera feraillé quelques années plus tard, les tentatives de revente n'ayant pas abouti. Dans les Vosges, la CFS met en service en 1937 un autorail Brissonneau & Lotz sur la ligne de la vallée de Celles. Il y circule jusqu'à la fermeture en 1950. Malgré ses bonnes performance, ce matériel arrivé tardivement sur le marché des autorails à voie métrique ne parvient pas à s'imposer. Le prix d'achat plus élevé que celui du matériel à transmission mécanique ainsi que la nécessité de disposer d'un personnel électricien spécialisé se sont révélés des freins à une époque où les restrictions financières et les compression du personnel étaient la règle.