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Caisse donc ? / Michel Vuillermoz in Voies ferrées, 93 (janvier-février 1996)
[article]
Titre : Caisse donc ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Vuillermoz, Auteur Article en page(s) : P. 17 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Caisse mobile
[Mots-clefs] Camion
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Essai
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Transport combiné
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Mots-clefs] Wagon à berceaux pivotants
[Année] 1995
[Compagnie] SNCFRésumé : "Après les CFF et la DB, la SNCF expérimente le transport combiné à l'aide de caisses ""Amplirol"". Ce système permet de faire passer une caisse mobile (plateau, benne ou citerne) d'un camion multi-bennes à un wagon plat muni d'un berceau pivotant sur lequel elle vient se fixer. Les caisses de ce type sont déjà largement répandues, elle doivent néanmoins recevoir de légères adaptations pour pouvoir être chargées sur les wagons. Ce système simple à mettre en oeuvre devrait continuer à se développer."
in Voies ferrées > 93 (janvier-février 1996) . - P. 17[article] Caisse donc ? [texte imprimé] / Michel Vuillermoz, Auteur . - P. 17.
Langues : Français
in Voies ferrées > 93 (janvier-février 1996) . - P. 17
Catégories : [Mots-clefs] Caisse mobile
[Mots-clefs] Camion
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Essai
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Transport combiné
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Mots-clefs] Wagon à berceaux pivotants
[Année] 1995
[Compagnie] SNCFRésumé : "Après les CFF et la DB, la SNCF expérimente le transport combiné à l'aide de caisses ""Amplirol"". Ce système permet de faire passer une caisse mobile (plateau, benne ou citerne) d'un camion multi-bennes à un wagon plat muni d'un berceau pivotant sur lequel elle vient se fixer. Les caisses de ce type sont déjà largement répandues, elle doivent néanmoins recevoir de légères adaptations pour pouvoir être chargées sur les wagons. Ce système simple à mettre en oeuvre devrait continuer à se développer." Le centenaire des chemins de fer égyptiens in Les transports publics, An. 8, no 2 (Février 1952)
[article]
Titre : Le centenaire des chemins de fer égyptiens Type de document : texte imprimé Année de publication : 1952 Article en page(s) : P. 7-9 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Egypte
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport fluvial
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1852-1952Index. décimale : 4300 Chemin de fer interurbain et vicinal - généralités Résumé : La construction de la première ligne de chemin de fer d'Egypte, entre Alexandrie et Le Caire, débute en 1852. Elle est mise en service en 1856. Cette construction, soutenue par les Anglais, constitue le contre-pied du projet français de canal de Suez. Le réseau se développe au fil des ans et compte en 1952 environ 4812 km de lignes à voie normale et 195 km de voies étroites. La maîtrise de la concurrence entre les transports routiers et ferroviaires fait, comme partout, partie des préoccupations actuelles, et des solutions intéressantes ont été trouvées.
in Les transports publics > An. 8, no 2 (Février 1952) . - P. 7-9[article] Le centenaire des chemins de fer égyptiens [texte imprimé] . - 1952 . - P. 7-9.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 8, no 2 (Février 1952) . - P. 7-9
Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Egypte
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport fluvial
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1852-1952Index. décimale : 4300 Chemin de fer interurbain et vicinal - généralités Résumé : La construction de la première ligne de chemin de fer d'Egypte, entre Alexandrie et Le Caire, débute en 1852. Elle est mise en service en 1856. Cette construction, soutenue par les Anglais, constitue le contre-pied du projet français de canal de Suez. Le réseau se développe au fil des ans et compte en 1952 environ 4812 km de lignes à voie normale et 195 km de voies étroites. La maîtrise de la concurrence entre les transports routiers et ferroviaires fait, comme partout, partie des préoccupations actuelles, et des solutions intéressantes ont été trouvées. CFF Cargo / Sylvain Meillasson in Rail passion, 75 (novembre 2003)
[article]
Titre : CFF Cargo : un plan de sauvetage pour le wagon isolé Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvain Meillasson, Auteur Article en page(s) : P. 28 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Amélioration
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Libéralisation
[Mots-clefs] Organisation
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport routier
[Mots-clefs] Wagon complet
[Compagnie] BLS CARGO
[Compagnie] CFF CARGO
[Année] 2002-2005Résumé : "Le trafic des ""wagons complets"", qui représente 5 à 6'000 wagons par jour, a causé en 2002 une perte de 36 millions de francs à CFF Cargo. Pour remédier à cette situation, deux possibilités ont été étudiées: la réduction du nombre de points desservis de 693 à 250 avec réduction de 450 postes de travail ou le maintien de la couverture du réseau avec différenciation des heures de desserte. C'est la seconde option qui a été retenue, comme celle cadrant le mieux avec la politique des transports de la Confédération. Seuls 64 points à forts trafic (représentant 50% de l'activité) resteront desservis avant 9h, les 629 autres l'étant entre 9h et 16h, ce qui semble acceptable pour la majorité des clients. CFF Cargo a connu en 2002 une baisse de 7,3% de son activité, la concurrence de BLS Cargo sur les trains entiers du marché intérieur se fait sentir. Il n'y a par contre pas de concurrence dans le domaine du wagon complet."
in Rail passion > 75 (novembre 2003) . - P. 28[article] CFF Cargo : un plan de sauvetage pour le wagon isolé [texte imprimé] / Sylvain Meillasson, Auteur . - P. 28.
Langues : Français
in Rail passion > 75 (novembre 2003) . - P. 28
Catégories : [Mots-clefs] Amélioration
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Libéralisation
[Mots-clefs] Organisation
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport routier
[Mots-clefs] Wagon complet
[Compagnie] BLS CARGO
[Compagnie] CFF CARGO
[Année] 2002-2005Résumé : "Le trafic des ""wagons complets"", qui représente 5 à 6'000 wagons par jour, a causé en 2002 une perte de 36 millions de francs à CFF Cargo. Pour remédier à cette situation, deux possibilités ont été étudiées: la réduction du nombre de points desservis de 693 à 250 avec réduction de 450 postes de travail ou le maintien de la couverture du réseau avec différenciation des heures de desserte. C'est la seconde option qui a été retenue, comme celle cadrant le mieux avec la politique des transports de la Confédération. Seuls 64 points à forts trafic (représentant 50% de l'activité) resteront desservis avant 9h, les 629 autres l'étant entre 9h et 16h, ce qui semble acceptable pour la majorité des clients. CFF Cargo a connu en 2002 une baisse de 7,3% de son activité, la concurrence de BLS Cargo sur les trains entiers du marché intérieur se fait sentir. Il n'y a par contre pas de concurrence dans le domaine du wagon complet." Le chemin de fer doit-il disparaître ? / Pierre Tissier in Les transports publics, An. 7, no 5 (Mai 1951)
[article]
Titre : Le chemin de fer doit-il disparaître ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Tissier, Auteur Année de publication : 1951 Article en page(s) : P. 3-6 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Perspective d'avenir
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] SNCF
[Année] 1949Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : La seconde guerre mondiale a fait considérablement progresser les véhicules automobiles utilitaires qui font maintenant une forte concurrence au chemin de fer. Le manque de coordination entre les transports routiers et ferroviaire est très coûteux pour l'Etat français: en 1949, 50 milliards de francs ont été utilisés pour combler le déficit de la SNCF et la part de dépenses de la route, non couverte par l'impôt sur les carburants, se monte à 53 milliards. La coordination devrait permettre d'attribuer chaque trafic au mode de transport le mieux adapté. Mais la concurrence est biaisée, les transports routiers sont majoritairement à but lucratif alors que le chemin de fer est soumis à de nombreuses règles qui l'empêchent notamment d'appliquer un tarif adapté à chaque transport. Certains transports sont surtaxés pour combler le déficit de ceux qui ne sont pas assez taxés. Si le transport ferroviaire continue a être considéré comme un service public et se voit imposer des charges extracommerciales, il ne peut être rentable. D'un autre côté, les poids lourds sont loin de payer les charges qu'ils occasionnent sur le réseau routier. La taxe sur le diesel devrait être au moins aussi élevée que celle sur l'essence, les automobilistes payant, eux, largement les coûts qu'ils occasionnent. Dans le cadre de la coordination des transports, les chemins de fer devraient abandonner certaines lignes secondaires à très faible trafic (moins de 200 voyageurs et de 70 tonnes de marchandises par jour) ainsi que certains transports entre gares-centres. Il faut cependant rester attentif à ce que le trafic des lignes secondaires soit bien amené aux lignes principales, sans quoi celles-ci deviendront à leur tour inexploitables. La route devrait abandonner les transports parallèles aux voies ferrées ainsi que tous les transports de marchandises et de voyageurs à grande distance (sauf ceux strictement touristiques). Les pouvoirs publics étant de moins en moins enclins à éponger le déficit de la SNCF, celle-ci risque de disparaître, ce qui serait une catastrophe pour l'économie du pays.
in Les transports publics > An. 7, no 5 (Mai 1951) . - P. 3-6[article] Le chemin de fer doit-il disparaître ? [texte imprimé] / Pierre Tissier, Auteur . - 1951 . - P. 3-6.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 7, no 5 (Mai 1951) . - P. 3-6
Catégories : [Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Perspective d'avenir
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] SNCF
[Année] 1949Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : La seconde guerre mondiale a fait considérablement progresser les véhicules automobiles utilitaires qui font maintenant une forte concurrence au chemin de fer. Le manque de coordination entre les transports routiers et ferroviaire est très coûteux pour l'Etat français: en 1949, 50 milliards de francs ont été utilisés pour combler le déficit de la SNCF et la part de dépenses de la route, non couverte par l'impôt sur les carburants, se monte à 53 milliards. La coordination devrait permettre d'attribuer chaque trafic au mode de transport le mieux adapté. Mais la concurrence est biaisée, les transports routiers sont majoritairement à but lucratif alors que le chemin de fer est soumis à de nombreuses règles qui l'empêchent notamment d'appliquer un tarif adapté à chaque transport. Certains transports sont surtaxés pour combler le déficit de ceux qui ne sont pas assez taxés. Si le transport ferroviaire continue a être considéré comme un service public et se voit imposer des charges extracommerciales, il ne peut être rentable. D'un autre côté, les poids lourds sont loin de payer les charges qu'ils occasionnent sur le réseau routier. La taxe sur le diesel devrait être au moins aussi élevée que celle sur l'essence, les automobilistes payant, eux, largement les coûts qu'ils occasionnent. Dans le cadre de la coordination des transports, les chemins de fer devraient abandonner certaines lignes secondaires à très faible trafic (moins de 200 voyageurs et de 70 tonnes de marchandises par jour) ainsi que certains transports entre gares-centres. Il faut cependant rester attentif à ce que le trafic des lignes secondaires soit bien amené aux lignes principales, sans quoi celles-ci deviendront à leur tour inexploitables. La route devrait abandonner les transports parallèles aux voies ferrées ainsi que tous les transports de marchandises et de voyageurs à grande distance (sauf ceux strictement touristiques). Les pouvoirs publics étant de moins en moins enclins à éponger le déficit de la SNCF, celle-ci risque de disparaître, ce qui serait une catastrophe pour l'économie du pays. Chemins de fer privés et relèvement linéaire des tarifs / H. Born in Les transports publics, An. 7, no 12 (Décembre 1951)
[article]
Titre : Chemins de fer privés et relèvement linéaire des tarifs Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Born, Auteur Année de publication : 1951 Article en page(s) : P. 3-6 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Année] 1939-1952Index. décimale : 4920 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - généralités Résumé : Les chemins de fer privés ont demandés en 1940 déjà un relèvement de leurs tarifs. Les autorités ne l'ont accordés qu'en 1944 et 1947, mais les augmentations se sont révélées insuffisantes. Un nouveau relèvement des tarifs est à l'étude. Cependant, les tarifs des chemins de fer privés sont déjà plus élevés que ceux des CFF, qui, vu l'importance de leur réseau, peuvent combler le déficit de certaines lignes par le bénéfice d'autres et sont moins impactés par la concurrence des transports routiers. Une nouvelle augmentation de tarif des chemins de fer privés, même limitée à 5% pour les voyageurs, risque de leur faire perdre des clients. L'octroi de subventions par les autorités a été étudiée, mais c'est l'option du relèvement des tarifs qui est retenue. Celui-ci ne devrait pas aggraver sensiblement la concurrence rail-route, si le prix des carburants ne diminue pas une nouvelle fois. La situation financière des chemins de fer privés est due à la guerre, qui a provoqué des augmentations exorbitantes des coûts des matériaux et des véhicules: ceux-ci ont pratiquement tous doublés depuis 1939, alors que les tarifs n'ont augmentés que de 15%. La nouvelle augmentation projetée conduira à une augmentation de 20% par rapport aux tarifs de 1939. Le fort trafic des années de guerre et d'immédiat après guerre a permis de tenir avec ces tarifs, mais le trafic est en baisse et les coûts continuent d'augmenter, les chemins de fer ne sont donc plus en mesure d'investir comme ils le devraient dans l'entretien de leur réseau et de leur matériel. L'augmentation de tarif à venir est donc absolument indispensable.
in Les transports publics > An. 7, no 12 (Décembre 1951) . - P. 3-6[article] Chemins de fer privés et relèvement linéaire des tarifs [texte imprimé] / H. Born, Auteur . - 1951 . - P. 3-6.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 7, no 12 (Décembre 1951) . - P. 3-6
Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Année] 1939-1952Index. décimale : 4920 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - généralités Résumé : Les chemins de fer privés ont demandés en 1940 déjà un relèvement de leurs tarifs. Les autorités ne l'ont accordés qu'en 1944 et 1947, mais les augmentations se sont révélées insuffisantes. Un nouveau relèvement des tarifs est à l'étude. Cependant, les tarifs des chemins de fer privés sont déjà plus élevés que ceux des CFF, qui, vu l'importance de leur réseau, peuvent combler le déficit de certaines lignes par le bénéfice d'autres et sont moins impactés par la concurrence des transports routiers. Une nouvelle augmentation de tarif des chemins de fer privés, même limitée à 5% pour les voyageurs, risque de leur faire perdre des clients. L'octroi de subventions par les autorités a été étudiée, mais c'est l'option du relèvement des tarifs qui est retenue. Celui-ci ne devrait pas aggraver sensiblement la concurrence rail-route, si le prix des carburants ne diminue pas une nouvelle fois. La situation financière des chemins de fer privés est due à la guerre, qui a provoqué des augmentations exorbitantes des coûts des matériaux et des véhicules: ceux-ci ont pratiquement tous doublés depuis 1939, alors que les tarifs n'ont augmentés que de 15%. La nouvelle augmentation projetée conduira à une augmentation de 20% par rapport aux tarifs de 1939. Le fort trafic des années de guerre et d'immédiat après guerre a permis de tenir avec ces tarifs, mais le trafic est en baisse et les coûts continuent d'augmenter, les chemins de fer ne sont donc plus en mesure d'investir comme ils le devraient dans l'entretien de leur réseau et de leur matériel. L'augmentation de tarif à venir est donc absolument indispensable. Les chemins de fer au service des armées alliées d'invasion in Les transports publics, An. 6, no 8 (Août 1950)
PermalinkChemins de fer et trafic routier dans la défense du pays in Les transports publics, An. 7, no 2 (Février 1951)
PermalinkCirculez genevois ! y'a tout à voir / Brigitte Sion
PermalinkComparaison des prix de revient rail & [et] route pour 1935 / Pierre Jourdain
PermalinkLe contournement autoroutier de Genève / Athur Harmann in Strasse und Verkehr : offizielle Zeitschrift der Vereinigung Schweizerischer Strassenfachleute, An 74, no 5 (mai 1988)
PermalinkLa coordinatin des transports sous l'angle du libéralisme / Abundi Schmid in Les transports publics, An. 8, no 3 (Mars 1952)
PermalinkDépart de la diligence pour Chamonix en 1880
PermalinkDer oeffentliche Verkehr / Suisse, Office fédéral de la statistique
PermalinkDeux cas typiques in Les transports publics, An. 8, no 4 (Avril 1952)
PermalinkDevant le bureau des chemins de fer PLM et SO, une diligence du service Genève - Chamonix est prête au départ
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