Association genevoise du musée des tramways
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... |
Détail de l'indexation
2001 : Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics 2000 Transport, politique des transports - généralités
2002 Transport, politique des transports - complémentarité transports individuels/publics |
Ouvrages de la bibliothèque en indexation 2001
Affiner la recherche Interroger des sources externes
L'avenir de la politique suisse des transports / Erhard Branger in Les transports publics, An. 7, no 4 (Avril 1951)
[article]
Titre : L'avenir de la politique suisse des transports Type de document : texte imprimé Auteurs : Erhard Branger, Auteur Année de publication : 1951 Article en page(s) : P. 3-5 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Législation
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1951Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Par deux fois, la population suisse a refusé en votation populaire l'idée d'une coordination des transports basée sur un partage du trafic inscrit dans une loi. Une commission travaille à un troisième essai d'entente directe, mais le problème est très complexe. La première étape serait de mettre sur pied d'égalité les divers moyens de transport en déchargeant ceux qui sont trop chargés. Une première inégalité existe entre les chemins de fer fédéraux et les chemins de fer privés, en défaveur de ceux-ci. Entre les transports ferroviaires et routiers, les inégalités sont flagrantes: les premiers doivent construire, entretenir et exploiter à leurs frais leurs installations, alors que les seconds utilise des infrastructures mises à disposition par le contribuable. De plus, les chemins de fer sont soumis à des obligations (d'exploiter, de transporter...) et leurs tarifs sont homologués. Les différences de traitement doivent donc être supprimée avant de pouvoir songer à faire compenser par les transporteurs les prestations des pouvoirs publics.
in Les transports publics > An. 7, no 4 (Avril 1951) . - P. 3-5[article] L'avenir de la politique suisse des transports [texte imprimé] / Erhard Branger, Auteur . - 1951 . - P. 3-5.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 7, no 4 (Avril 1951) . - P. 3-5
Catégories : [Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Législation
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1951Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Par deux fois, la population suisse a refusé en votation populaire l'idée d'une coordination des transports basée sur un partage du trafic inscrit dans une loi. Une commission travaille à un troisième essai d'entente directe, mais le problème est très complexe. La première étape serait de mettre sur pied d'égalité les divers moyens de transport en déchargeant ceux qui sont trop chargés. Une première inégalité existe entre les chemins de fer fédéraux et les chemins de fer privés, en défaveur de ceux-ci. Entre les transports ferroviaires et routiers, les inégalités sont flagrantes: les premiers doivent construire, entretenir et exploiter à leurs frais leurs installations, alors que les seconds utilise des infrastructures mises à disposition par le contribuable. De plus, les chemins de fer sont soumis à des obligations (d'exploiter, de transporter...) et leurs tarifs sont homologués. Les différences de traitement doivent donc être supprimée avant de pouvoir songer à faire compenser par les transporteurs les prestations des pouvoirs publics. Le chemin de fer doit-il disparaître ? / Pierre Tissier in Les transports publics, An. 7, no 5 (Mai 1951)
[article]
Titre : Le chemin de fer doit-il disparaître ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Tissier, Auteur Année de publication : 1951 Article en page(s) : P. 3-6 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Perspective d'avenir
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] SNCF
[Année] 1949Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : La seconde guerre mondiale a fait considérablement progresser les véhicules automobiles utilitaires qui font maintenant une forte concurrence au chemin de fer. Le manque de coordination entre les transports routiers et ferroviaire est très coûteux pour l'Etat français: en 1949, 50 milliards de francs ont été utilisés pour combler le déficit de la SNCF et la part de dépenses de la route, non couverte par l'impôt sur les carburants, se monte à 53 milliards. La coordination devrait permettre d'attribuer chaque trafic au mode de transport le mieux adapté. Mais la concurrence est biaisée, les transports routiers sont majoritairement à but lucratif alors que le chemin de fer est soumis à de nombreuses règles qui l'empêchent notamment d'appliquer un tarif adapté à chaque transport. Certains transports sont surtaxés pour combler le déficit de ceux qui ne sont pas assez taxés. Si le transport ferroviaire continue a être considéré comme un service public et se voit imposer des charges extracommerciales, il ne peut être rentable. D'un autre côté, les poids lourds sont loin de payer les charges qu'ils occasionnent sur le réseau routier. La taxe sur le diesel devrait être au moins aussi élevée que celle sur l'essence, les automobilistes payant, eux, largement les coûts qu'ils occasionnent. Dans le cadre de la coordination des transports, les chemins de fer devraient abandonner certaines lignes secondaires à très faible trafic (moins de 200 voyageurs et de 70 tonnes de marchandises par jour) ainsi que certains transports entre gares-centres. Il faut cependant rester attentif à ce que le trafic des lignes secondaires soit bien amené aux lignes principales, sans quoi celles-ci deviendront à leur tour inexploitables. La route devrait abandonner les transports parallèles aux voies ferrées ainsi que tous les transports de marchandises et de voyageurs à grande distance (sauf ceux strictement touristiques). Les pouvoirs publics étant de moins en moins enclins à éponger le déficit de la SNCF, celle-ci risque de disparaître, ce qui serait une catastrophe pour l'économie du pays.
in Les transports publics > An. 7, no 5 (Mai 1951) . - P. 3-6[article] Le chemin de fer doit-il disparaître ? [texte imprimé] / Pierre Tissier, Auteur . - 1951 . - P. 3-6.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 7, no 5 (Mai 1951) . - P. 3-6
Catégories : [Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Perspective d'avenir
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] SNCF
[Année] 1949Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : La seconde guerre mondiale a fait considérablement progresser les véhicules automobiles utilitaires qui font maintenant une forte concurrence au chemin de fer. Le manque de coordination entre les transports routiers et ferroviaire est très coûteux pour l'Etat français: en 1949, 50 milliards de francs ont été utilisés pour combler le déficit de la SNCF et la part de dépenses de la route, non couverte par l'impôt sur les carburants, se monte à 53 milliards. La coordination devrait permettre d'attribuer chaque trafic au mode de transport le mieux adapté. Mais la concurrence est biaisée, les transports routiers sont majoritairement à but lucratif alors que le chemin de fer est soumis à de nombreuses règles qui l'empêchent notamment d'appliquer un tarif adapté à chaque transport. Certains transports sont surtaxés pour combler le déficit de ceux qui ne sont pas assez taxés. Si le transport ferroviaire continue a être considéré comme un service public et se voit imposer des charges extracommerciales, il ne peut être rentable. D'un autre côté, les poids lourds sont loin de payer les charges qu'ils occasionnent sur le réseau routier. La taxe sur le diesel devrait être au moins aussi élevée que celle sur l'essence, les automobilistes payant, eux, largement les coûts qu'ils occasionnent. Dans le cadre de la coordination des transports, les chemins de fer devraient abandonner certaines lignes secondaires à très faible trafic (moins de 200 voyageurs et de 70 tonnes de marchandises par jour) ainsi que certains transports entre gares-centres. Il faut cependant rester attentif à ce que le trafic des lignes secondaires soit bien amené aux lignes principales, sans quoi celles-ci deviendront à leur tour inexploitables. La route devrait abandonner les transports parallèles aux voies ferrées ainsi que tous les transports de marchandises et de voyageurs à grande distance (sauf ceux strictement touristiques). Les pouvoirs publics étant de moins en moins enclins à éponger le déficit de la SNCF, celle-ci risque de disparaître, ce qui serait une catastrophe pour l'économie du pays. Chemins de fer et trafic routier dans la défense du pays in Les transports publics, An. 7, no 2 (Février 1951)
[article]
Titre : Chemins de fer et trafic routier dans la défense du pays Type de document : texte imprimé Année de publication : 1951 Article en page(s) : P. 5-6 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Armée
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1951Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Avant la seconde guerre mondiale, en raison de la crise économique, la situation financière des chemins de fer était de plus en plus critique. Des voies s'élevaient pour leur disparition, l'un des arguments étant qu'ils n'auraient aucune utilité en cas de guerre, les attaques aériennes allant certainement détruire leurs infrastructures. Les années de guerre ont au contraire démontré l'importance des chemins de fer pour les transports de masse. Malgré cela, des voies s'élèvent en Suisse pour annoncer que seuls les véhicules routiers seront utile à l'armée dans le futur. Dans ce cadre, la suppression des chemins de fer et leur remplacement par des services routiers permettrait à l'armée de pouvoir réquisitionner un parc important en cas de besoin. Mais la question de l'approvisionnement en carburant en cas de guerre n'est pas résolue. Les populations concernées par les projets de suppression de desserte ferroviaire y sont en général opposées, l'expérience de la dernière guerre montrant que les services de transports publics routiers ont disparu alors que les chemins de fer continuaient à circuler.
in Les transports publics > An. 7, no 2 (Février 1951) . - P. 5-6[article] Chemins de fer et trafic routier dans la défense du pays [texte imprimé] . - 1951 . - P. 5-6.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 7, no 2 (Février 1951) . - P. 5-6
Catégories : [Mots-clefs] Armée
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1951Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Avant la seconde guerre mondiale, en raison de la crise économique, la situation financière des chemins de fer était de plus en plus critique. Des voies s'élevaient pour leur disparition, l'un des arguments étant qu'ils n'auraient aucune utilité en cas de guerre, les attaques aériennes allant certainement détruire leurs infrastructures. Les années de guerre ont au contraire démontré l'importance des chemins de fer pour les transports de masse. Malgré cela, des voies s'élèvent en Suisse pour annoncer que seuls les véhicules routiers seront utile à l'armée dans le futur. Dans ce cadre, la suppression des chemins de fer et leur remplacement par des services routiers permettrait à l'armée de pouvoir réquisitionner un parc important en cas de besoin. Mais la question de l'approvisionnement en carburant en cas de guerre n'est pas résolue. Les populations concernées par les projets de suppression de desserte ferroviaire y sont en général opposées, l'expérience de la dernière guerre montrant que les services de transports publics routiers ont disparu alors que les chemins de fer continuaient à circuler. La coordinatin des transports sous l'angle du libéralisme / Abundi Schmid in Les transports publics, An. 8, no 3 (Mars 1952)
[article]
Titre : La coordinatin des transports sous l'angle du libéralisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Abundi Schmid, Auteur Année de publication : 1952 Article en page(s) : P. 10-11 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Allemagne
[Mots-clefs] Angleterre
[Mots-clefs] Belgique
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Coût
[Mots-clefs] Economie
[Mots-clefs] Etude comparative
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Législation
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1935-1952Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : La Suisse a une conception libérale de la coordination des transports, qui prend le contrepied des réglementations adoptées dans d'autre pays, notamment en France et en Angleterre. En Suisse, la Commission fédérale pour la coordination des transports soutient le principe d'une concurrence aussi libre que possible. Le peuple va également dans ce sens, puisque depuis la première votation sur le sujet en 1935, il a constamment refusé tout régime restrictif pour les transports routiers. En Suisse, la différence entre les transports publics et les transports privés tient à ce que les premiers sont soumis à toute une série d'obligations en faveur de la collectivité alors que les seconds échappent totalement à ces obligations. Comme le peuple ne veut pas leur en imposer, une solution libérale pour rétablir des conditions de concurrence plus juste serait de lever les obligations imposées aux transports publics. Mais les conséquences risqueraient d'être catastrophiques pour le pays, avec la suppression des obligations de transport et de tarifs réduits dans certaines circonstances. Devant l'impossibilité de supprimer ces obligations, elles doivent faire l'objet d'une compensation financière. Les chemins de fer se voient également dans l'obligation de supporter leurs coûts d'infrastructure, alors que les transports routiers bénéficient d'infrastructures publiques. La vérité des coûts doit également être recherchée de ce côté là. Les mêmes réflexions ont lieu dans certains pays voisins et, en Belgique, la SNCB reçoit depuis 1947 des dédommagements pour ses charges extra-ferroviaires.
in Les transports publics > An. 8, no 3 (Mars 1952) . - P. 10-11[article] La coordinatin des transports sous l'angle du libéralisme [texte imprimé] / Abundi Schmid, Auteur . - 1952 . - P. 10-11.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 8, no 3 (Mars 1952) . - P. 10-11
Catégories : [Mots-clefs] Allemagne
[Mots-clefs] Angleterre
[Mots-clefs] Belgique
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Coût
[Mots-clefs] Economie
[Mots-clefs] Etude comparative
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Législation
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1935-1952Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : La Suisse a une conception libérale de la coordination des transports, qui prend le contrepied des réglementations adoptées dans d'autre pays, notamment en France et en Angleterre. En Suisse, la Commission fédérale pour la coordination des transports soutient le principe d'une concurrence aussi libre que possible. Le peuple va également dans ce sens, puisque depuis la première votation sur le sujet en 1935, il a constamment refusé tout régime restrictif pour les transports routiers. En Suisse, la différence entre les transports publics et les transports privés tient à ce que les premiers sont soumis à toute une série d'obligations en faveur de la collectivité alors que les seconds échappent totalement à ces obligations. Comme le peuple ne veut pas leur en imposer, une solution libérale pour rétablir des conditions de concurrence plus juste serait de lever les obligations imposées aux transports publics. Mais les conséquences risqueraient d'être catastrophiques pour le pays, avec la suppression des obligations de transport et de tarifs réduits dans certaines circonstances. Devant l'impossibilité de supprimer ces obligations, elles doivent faire l'objet d'une compensation financière. Les chemins de fer se voient également dans l'obligation de supporter leurs coûts d'infrastructure, alors que les transports routiers bénéficient d'infrastructures publiques. La vérité des coûts doit également être recherchée de ce côté là. Les mêmes réflexions ont lieu dans certains pays voisins et, en Belgique, la SNCB reçoit depuis 1947 des dédommagements pour ses charges extra-ferroviaires. Défense nationale et politique des transports in Les transports publics, An. 2, no 12 (Décembre 1946)
[article]
Titre : Défense nationale et politique des transports Type de document : texte imprimé Année de publication : 1946 Article en page(s) : P. 3-4 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Armée
[Mots-clefs] Bus
[Mots-clefs] Guerre
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Traction Diesel
[Mots-clefs] Traction électrique
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Trolleybus
[Année] 1946Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Le secrétaire de la Fédération routière suisse (FRS)a pris position contre l'avant-projet de loi sur les trolleybus. L'un des arguments évoqués est la défense nationale: les trolleybus, dépendants d'une infrastructure, n'ont aucun intérêt pour l'armée, qui ne peut les réquisitionner pour ses besoins en cas de guerre. C'est oublier que durant la dernière guerre, les véhicules thermiques ont été soumis à de fortes restrictions de carburant et que c'est la traction électrique qui a permis d'assurer les transports nécessaires à l'économie. L'armée elle-même, pour économiser le carburant, a chargé ses véhicules sur les trains pour les parcours supérieurs à 100 km. Dans le même temps, la FRS s'oppose à l'augmentation du parc de bus des entreprises de transport public et demande que les services en questions soient confiés aux entreprises privées. La défense national n'est ici pas du tout prise en considération...
in Les transports publics > An. 2, no 12 (Décembre 1946) . - P. 3-4[article] Défense nationale et politique des transports [texte imprimé] . - 1946 . - P. 3-4.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 2, no 12 (Décembre 1946) . - P. 3-4
Catégories : [Mots-clefs] Armée
[Mots-clefs] Bus
[Mots-clefs] Guerre
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Traction Diesel
[Mots-clefs] Traction électrique
[Mots-clefs] Transport public
[Mots-clefs] Trolleybus
[Année] 1946Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Le secrétaire de la Fédération routière suisse (FRS)a pris position contre l'avant-projet de loi sur les trolleybus. L'un des arguments évoqués est la défense nationale: les trolleybus, dépendants d'une infrastructure, n'ont aucun intérêt pour l'armée, qui ne peut les réquisitionner pour ses besoins en cas de guerre. C'est oublier que durant la dernière guerre, les véhicules thermiques ont été soumis à de fortes restrictions de carburant et que c'est la traction électrique qui a permis d'assurer les transports nécessaires à l'économie. L'armée elle-même, pour économiser le carburant, a chargé ses véhicules sur les trains pour les parcours supérieurs à 100 km. Dans le même temps, la FRS s'oppose à l'augmentation du parc de bus des entreprises de transport public et demande que les services en questions soient confiés aux entreprises privées. La défense national n'est ici pas du tout prise en considération... Deux cas typiques in Les transports publics, An. 8, no 4 (Avril 1952)
PermalinkLibre collaboration rail-route et chemins de fer privés / H. Born in Les transports publics, An. 8, no 3 (Mars 1952)
PermalinkLe point de vue de l'Union suisse du commerce et de l'industrie / Vorort in Les transports publics, An. 8, no 11 (novembre 1952)
PermalinkPromenade à Loèche-les-Bains in Les transports publics, An. 6, no 7 (Juillet 1950)
PermalinkA propos de l'aide aux chemins de fer privés / H. Born in Les transports publics, An. 8, no 4 (Avril 1952)
PermalinkQuels transports collectifs au quotidien ? / Marie-Hélème Massot in La recherche, No 413, Cahier spécial (Novembre 2007)
PermalinkLa situation des chemins de fer européens in Les transports publics, An. 7, no 5 (Mai 1951)
PermalinkLes tarifs des chemins de fer et le prix de la benzine / Erhard Branger in Les transports publics, An. 6, no 12 (Décembre 1950)
PermalinkTrain, camion, avion / Dominique Bussac in Science et vie, Edition spéciale, no 16 (mai 2003)
Permalink