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Augmentation des tarifs et chemins de fer privés de 1939 à 1949 / H. Born in Les transports publics, An. 6, no 4 (Avril 1950)
[article]
Titre : Augmentation des tarifs et chemins de fer privés de 1939 à 1949 Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Born, Auteur Année de publication : 1950 Article en page(s) : P. 3-4, 6 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coût de la vie
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Dépense
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Recette
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] UST
[Année] 1939-1949Index. décimale : 4922 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - comptes (recettes et dépenses) Résumé : La situation financière des chemins de fer suisses est mauvaise et ne leur permet pas d'entreprendre les rénovations de leurs installations usées par les années de guerre. La raison de cette situation tient à l'impossibilité dans laquelle se sont trouvés les chemins de fer d'adapter leurs tarifs au renchérissement général. Ainsi, le 20 mai 1941, l'UST a demandé à l'OFT l'autorisation, pour les chemins de fer privés et les entreprises de navigation, de prélever des surtaxes pour compenser le renchérissement provoqué par la guerre. La demande est relancée le 30 juin 1942 et le 30 mars 1943, toujours sans succès. Le 23 août 1943, l'UST demande que la Confédération prenne en charge les pertes de recettes subies par les compagnies depuis le 1er mai 1943 en raison de la non prise en considération de leurs demandes d'augmentation des tarifs (cette demande sera rejetée le 25 avril 1946). Une nouvelle demande le 27 octobre 1943 aboutit enfin, le 24 décembre 1943, à l'accord du Conseil fédéral pour l'entrée en vigueur de surtaxes, mais uniquement dès le 1er mars 1944 pour les transports de marchandises et le 1er avril 1944 pour les voyageurs. Ces surtaxes de 8% en moyenne sont nettement insuffisantes par rapport aux augmentations des coûts induites par la guerre. Un second ajustement des tarifs est autorisé le 24 mars 1947. Le total des deux augmentations de tarif autorisées se monte à 15-16% alors que, durant la même période, les frais de personnel ont augmenté de 60% et le prix du matériel de 100%.
in Les transports publics > An. 6, no 4 (Avril 1950) . - P. 3-4, 6[article] Augmentation des tarifs et chemins de fer privés de 1939 à 1949 [texte imprimé] / H. Born, Auteur . - 1950 . - P. 3-4, 6.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 6, no 4 (Avril 1950) . - P. 3-4, 6
Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Coût de la vie
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Dépense
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Recette
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] UST
[Année] 1939-1949Index. décimale : 4922 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - comptes (recettes et dépenses) Résumé : La situation financière des chemins de fer suisses est mauvaise et ne leur permet pas d'entreprendre les rénovations de leurs installations usées par les années de guerre. La raison de cette situation tient à l'impossibilité dans laquelle se sont trouvés les chemins de fer d'adapter leurs tarifs au renchérissement général. Ainsi, le 20 mai 1941, l'UST a demandé à l'OFT l'autorisation, pour les chemins de fer privés et les entreprises de navigation, de prélever des surtaxes pour compenser le renchérissement provoqué par la guerre. La demande est relancée le 30 juin 1942 et le 30 mars 1943, toujours sans succès. Le 23 août 1943, l'UST demande que la Confédération prenne en charge les pertes de recettes subies par les compagnies depuis le 1er mai 1943 en raison de la non prise en considération de leurs demandes d'augmentation des tarifs (cette demande sera rejetée le 25 avril 1946). Une nouvelle demande le 27 octobre 1943 aboutit enfin, le 24 décembre 1943, à l'accord du Conseil fédéral pour l'entrée en vigueur de surtaxes, mais uniquement dès le 1er mars 1944 pour les transports de marchandises et le 1er avril 1944 pour les voyageurs. Ces surtaxes de 8% en moyenne sont nettement insuffisantes par rapport aux augmentations des coûts induites par la guerre. Un second ajustement des tarifs est autorisé le 24 mars 1947. Le total des deux augmentations de tarif autorisées se monte à 15-16% alors que, durant la même période, les frais de personnel ont augmenté de 60% et le prix du matériel de 100%. Chemins de fer privés et relèvement linéaire des tarifs / H. Born in Les transports publics, An. 7, no 12 (Décembre 1951)
[article]
Titre : Chemins de fer privés et relèvement linéaire des tarifs Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Born, Auteur Année de publication : 1951 Article en page(s) : P. 3-6 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Année] 1939-1952Index. décimale : 4920 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - généralités Résumé : Les chemins de fer privés ont demandés en 1940 déjà un relèvement de leurs tarifs. Les autorités ne l'ont accordés qu'en 1944 et 1947, mais les augmentations se sont révélées insuffisantes. Un nouveau relèvement des tarifs est à l'étude. Cependant, les tarifs des chemins de fer privés sont déjà plus élevés que ceux des CFF, qui, vu l'importance de leur réseau, peuvent combler le déficit de certaines lignes par le bénéfice d'autres et sont moins impactés par la concurrence des transports routiers. Une nouvelle augmentation de tarif des chemins de fer privés, même limitée à 5% pour les voyageurs, risque de leur faire perdre des clients. L'octroi de subventions par les autorités a été étudiée, mais c'est l'option du relèvement des tarifs qui est retenue. Celui-ci ne devrait pas aggraver sensiblement la concurrence rail-route, si le prix des carburants ne diminue pas une nouvelle fois. La situation financière des chemins de fer privés est due à la guerre, qui a provoqué des augmentations exorbitantes des coûts des matériaux et des véhicules: ceux-ci ont pratiquement tous doublés depuis 1939, alors que les tarifs n'ont augmentés que de 15%. La nouvelle augmentation projetée conduira à une augmentation de 20% par rapport aux tarifs de 1939. Le fort trafic des années de guerre et d'immédiat après guerre a permis de tenir avec ces tarifs, mais le trafic est en baisse et les coûts continuent d'augmenter, les chemins de fer ne sont donc plus en mesure d'investir comme ils le devraient dans l'entretien de leur réseau et de leur matériel. L'augmentation de tarif à venir est donc absolument indispensable.
in Les transports publics > An. 7, no 12 (Décembre 1951) . - P. 3-6[article] Chemins de fer privés et relèvement linéaire des tarifs [texte imprimé] / H. Born, Auteur . - 1951 . - P. 3-6.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 7, no 12 (Décembre 1951) . - P. 3-6
Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Année] 1939-1952Index. décimale : 4920 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - généralités Résumé : Les chemins de fer privés ont demandés en 1940 déjà un relèvement de leurs tarifs. Les autorités ne l'ont accordés qu'en 1944 et 1947, mais les augmentations se sont révélées insuffisantes. Un nouveau relèvement des tarifs est à l'étude. Cependant, les tarifs des chemins de fer privés sont déjà plus élevés que ceux des CFF, qui, vu l'importance de leur réseau, peuvent combler le déficit de certaines lignes par le bénéfice d'autres et sont moins impactés par la concurrence des transports routiers. Une nouvelle augmentation de tarif des chemins de fer privés, même limitée à 5% pour les voyageurs, risque de leur faire perdre des clients. L'octroi de subventions par les autorités a été étudiée, mais c'est l'option du relèvement des tarifs qui est retenue. Celui-ci ne devrait pas aggraver sensiblement la concurrence rail-route, si le prix des carburants ne diminue pas une nouvelle fois. La situation financière des chemins de fer privés est due à la guerre, qui a provoqué des augmentations exorbitantes des coûts des matériaux et des véhicules: ceux-ci ont pratiquement tous doublés depuis 1939, alors que les tarifs n'ont augmentés que de 15%. La nouvelle augmentation projetée conduira à une augmentation de 20% par rapport aux tarifs de 1939. Le fort trafic des années de guerre et d'immédiat après guerre a permis de tenir avec ces tarifs, mais le trafic est en baisse et les coûts continuent d'augmenter, les chemins de fer ne sont donc plus en mesure d'investir comme ils le devraient dans l'entretien de leur réseau et de leur matériel. L'augmentation de tarif à venir est donc absolument indispensable. Libre collaboration rail-route et chemins de fer privés / H. Born in Les transports publics, An. 8, no 3 (Mars 1952)
[article]
Titre : Libre collaboration rail-route et chemins de fer privés Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Born, Auteur Année de publication : 1952 Article en page(s) : P. 3-6 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Condition de travail
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Economie
[Mots-clefs] Personnel
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Statistique
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1952
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] TAG (SUISSE)
[Compagnie] USTIndex. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Début 1952, les CFF et les transporteurs routiers à longue distance ont créé une Union suisse des transports de marchandises. Les chemins de fer privés n'y participent pas, car les nombreuses entreprises de transport routier qui leur font directement concurrence pour les transports à courte distance n'y participent pas non plus. Ce contrat signé empêche l'étude d'un contrat plus large qui concernerait également les transports à courte distance. Même si le réseau des chemins de fer privé est presque aussi étendu que celui des CFF, les compagnies de chemin de fer privé, avec leur rayon d'action moyen de 28 km seulement, n'agissent qu'à l'échelon local. Elles ne disposent en général pas de plusieurs lignes dont l'une peut venir compenser le déficit de l'autre. De plus, les chemins de fer privés desservent des régions au potentiel économique bien inférieur à celles desservies pas les CFF. La perte de trafic au profit de la route a donc de plus graves effets dans ces régions que dans les grands centres économiques. Le contrat signé par les CFF prévoit que les chemins de fer ne mettent pas en service de véhicules routiers. Or, pour certains chemins de fer privés, c'est une question de survie. L'effectif des camions des chemins de fer privés est insignifiant et si chaque compagnie en mettait deux en service, cela le resterait, de nouvelles entreprises de transport routier ne cessant de se créer. Ce point n'est d'ailleurs pas du tout régulé dans le contrat en vigueur. Le rejet par le peuple du Statut des transports automobiles (STA) a conduit à lever toutes les restrictions pour le trafic routier (à l'exception des prescriptions de la LCR). Il continuera donc de se développer, sans tenir compte du trafic ferroviaire. Les chemins de fer doivent donc pouvoir profiter eux-même des avantages que présentent les véhicules automobiles.
in Les transports publics > An. 8, no 3 (Mars 1952) . - P. 3-6[article] Libre collaboration rail-route et chemins de fer privés [texte imprimé] / H. Born, Auteur . - 1952 . - P. 3-6.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 8, no 3 (Mars 1952) . - P. 3-6
Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Condition de travail
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Economie
[Mots-clefs] Personnel
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Statistique
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Année] 1952
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] TAG (SUISSE)
[Compagnie] USTIndex. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Début 1952, les CFF et les transporteurs routiers à longue distance ont créé une Union suisse des transports de marchandises. Les chemins de fer privés n'y participent pas, car les nombreuses entreprises de transport routier qui leur font directement concurrence pour les transports à courte distance n'y participent pas non plus. Ce contrat signé empêche l'étude d'un contrat plus large qui concernerait également les transports à courte distance. Même si le réseau des chemins de fer privé est presque aussi étendu que celui des CFF, les compagnies de chemin de fer privé, avec leur rayon d'action moyen de 28 km seulement, n'agissent qu'à l'échelon local. Elles ne disposent en général pas de plusieurs lignes dont l'une peut venir compenser le déficit de l'autre. De plus, les chemins de fer privés desservent des régions au potentiel économique bien inférieur à celles desservies pas les CFF. La perte de trafic au profit de la route a donc de plus graves effets dans ces régions que dans les grands centres économiques. Le contrat signé par les CFF prévoit que les chemins de fer ne mettent pas en service de véhicules routiers. Or, pour certains chemins de fer privés, c'est une question de survie. L'effectif des camions des chemins de fer privés est insignifiant et si chaque compagnie en mettait deux en service, cela le resterait, de nouvelles entreprises de transport routier ne cessant de se créer. Ce point n'est d'ailleurs pas du tout régulé dans le contrat en vigueur. Le rejet par le peuple du Statut des transports automobiles (STA) a conduit à lever toutes les restrictions pour le trafic routier (à l'exception des prescriptions de la LCR). Il continuera donc de se développer, sans tenir compte du trafic ferroviaire. Les chemins de fer doivent donc pouvoir profiter eux-même des avantages que présentent les véhicules automobiles. Notre politique des transports en 1951 / H. Born in Les transports publics, An. 8, no 2 (Février 1952)
[article]
Titre : Notre politique des transports en 1951 Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Born, Auteur Année de publication : 1952 Article en page(s) : P. 3-4 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Taux de motorisation
[Mots-clefs] Tourisme
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] MO (Martigny)
[Compagnie] MOB
[Compagnie] PTT
[Compagnie] SEZ
[Année] 1951
[Ligne] 133
[Ligne] Le Châble
[Ligne] SembrancherIndex. décimale : 2000 Transport, politique des transports - généralités Résumé : En 1951, l'économie se porte bien, mais l'évolution importante du taux de motorisation (camions et voitures) prouve que les anciens transporteurs perdent des parts de marché. Les PTT et les CFF ont mis en place l'"Europabus" pour les transports touristiques entre Interlaken et Montreux, en concurrence directe avec les chemins de fer privés. Les CFF ont également pris une participation financière dans une société internationale privée d'autobus qui dès 1952 ira chercher des voyageurs en Angleterre pour les amener faire des excursions en Suisse. Les chemins de fer privés souhaitent pouvoir mettre en service les véhicules routiers nécessaires à leur existence. Le relèvement des tarifs de 5% au 1er janvier 1952 devrait permettre, si la haute conjoncture se maintient, d'améliorer les résultats d'exploitation. La Confédération a par ailleurs débloqué 3 millions de francs pour aider les chemins de fer privés et entreprises de navigation durant trois ans. Elle a également débloqué des fonds pour aider les entreprises victimes de dommages naturels. Le chemin de fer Martigny-Orsières a obtenu une concession pour une embranchement de Sembrancher au Châble. Une des raisons qui a déterminé l'octroi de cette concession est le transport des matériaux de construction pour le barrage de Mauvoisin, qui nécessitera 600'000 tonnes de ciment.
in Les transports publics > An. 8, no 2 (Février 1952) . - P. 3-4[article] Notre politique des transports en 1951 [texte imprimé] / H. Born, Auteur . - 1952 . - P. 3-4.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 8, no 2 (Février 1952) . - P. 3-4
Catégories : [Mots-clefs] Augmentation
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concurrence
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Coordination
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Taux de motorisation
[Mots-clefs] Tourisme
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Transport ferroviaire
[Mots-clefs] Transport routier
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] MO (Martigny)
[Compagnie] MOB
[Compagnie] PTT
[Compagnie] SEZ
[Année] 1951
[Ligne] 133
[Ligne] Le Châble
[Ligne] SembrancherIndex. décimale : 2000 Transport, politique des transports - généralités Résumé : En 1951, l'économie se porte bien, mais l'évolution importante du taux de motorisation (camions et voitures) prouve que les anciens transporteurs perdent des parts de marché. Les PTT et les CFF ont mis en place l'"Europabus" pour les transports touristiques entre Interlaken et Montreux, en concurrence directe avec les chemins de fer privés. Les CFF ont également pris une participation financière dans une société internationale privée d'autobus qui dès 1952 ira chercher des voyageurs en Angleterre pour les amener faire des excursions en Suisse. Les chemins de fer privés souhaitent pouvoir mettre en service les véhicules routiers nécessaires à leur existence. Le relèvement des tarifs de 5% au 1er janvier 1952 devrait permettre, si la haute conjoncture se maintient, d'améliorer les résultats d'exploitation. La Confédération a par ailleurs débloqué 3 millions de francs pour aider les chemins de fer privés et entreprises de navigation durant trois ans. Elle a également débloqué des fonds pour aider les entreprises victimes de dommages naturels. Le chemin de fer Martigny-Orsières a obtenu une concession pour une embranchement de Sembrancher au Châble. Une des raisons qui a déterminé l'octroi de cette concession est le transport des matériaux de construction pour le barrage de Mauvoisin, qui nécessitera 600'000 tonnes de ciment. A propos de l'aide aux chemins de fer privés / H. Born in Les transports publics, An. 8, no 4 (Avril 1952)
[article]
Titre : A propos de l'aide aux chemins de fer privés Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Born, Auteur Année de publication : 1952 Article en page(s) : P. 3-4 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Année] 1951-1953Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Un montant total de 3 millions de francs est mis à disposition par la Confédération pour la couverture des déficits des entreprises de chemin de fer privé et de navigation qui présentent "une grand importance au point de vue militaire et économique". Mais ces aides ponctuelles n'apportent pas de solution définitive. Si il y a un déficit chronique, il faut faire des économies, avec des restrictions dans l'entretien des véhicules et des infrastructures et l'abandon de tout projet de modernisation. Il faut revoir les conditions d'octroi d'aide et tenir compte de l'économie publique et de la politique culturelle et sociale. Les amortissements doivent également être pris en compte dans les frais d'exploitation: ils sont une obligation légale et doivent donc pouvoir être couverts par les fonds d'aide.
in Les transports publics > An. 8, no 4 (Avril 1952) . - P. 3-4[article] A propos de l'aide aux chemins de fer privés [texte imprimé] / H. Born, Auteur . - 1952 . - P. 3-4.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 8, no 4 (Avril 1952) . - P. 3-4
Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Déficit
[Mots-clefs] Politique des transports
[Mots-clefs] Subvention
[Mots-clefs] Suisse
[Année] 1951-1953Index. décimale : 2001 Transport, politique des transports - concurrence transports individuels/publics Résumé : Un montant total de 3 millions de francs est mis à disposition par la Confédération pour la couverture des déficits des entreprises de chemin de fer privé et de navigation qui présentent "une grand importance au point de vue militaire et économique". Mais ces aides ponctuelles n'apportent pas de solution définitive. Si il y a un déficit chronique, il faut faire des économies, avec des restrictions dans l'entretien des véhicules et des infrastructures et l'abandon de tout projet de modernisation. Il faut revoir les conditions d'octroi d'aide et tenir compte de l'économie publique et de la politique culturelle et sociale. Les amortissements doivent également être pris en compte dans les frais d'exploitation: ils sont une obligation légale et doivent donc pouvoir être couverts par les fonds d'aide.