Association genevoise du musée des tramways
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Auteur Oscar Bovet |
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Amortissement, renouvellement et fiscalité dans les compagnies privées / Oscar Bovet in Les transports publics, An. 8, no 11 (novembre 1952)
[article]
Titre : Amortissement, renouvellement et fiscalité dans les compagnies privées Type de document : texte imprimé Auteurs : Oscar Bovet, Auteur Année de publication : 1952 Article en page(s) : P. 3-4 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Amortissement
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Impôt
[Mots-clefs] Législation
[Mots-clefs] Suisse
[Année] 1947-1951Index. décimale : 4923 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - budget Résumé : Les chemins de fer privés ont l'obligation d'alimenter un Fonds d'amortissement (anciennement Fonds de renouvellement) pour le renouvellement de leur matériel roulant. Malheureusement, les nouveaux véhicules coûtent nettement plus cher que les anciens, et ces fonds sont insuffisant. Des fonds complémentaires sont nécessaire, mais les provisions qui peuvent être réalisées les bonnes années sont imposables. Les CFF ne sont pas soumis aux même règles et disposent d'une plus grande latitude quant à leurs amortissements.
in Les transports publics > An. 8, no 11 (novembre 1952) . - P. 3-4[article] Amortissement, renouvellement et fiscalité dans les compagnies privées [texte imprimé] / Oscar Bovet, Auteur . - 1952 . - P. 3-4.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 8, no 11 (novembre 1952) . - P. 3-4
Catégories : [Mots-clefs] Amortissement
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Finance
[Mots-clefs] Impôt
[Mots-clefs] Législation
[Mots-clefs] Suisse
[Année] 1947-1951Index. décimale : 4923 Compagnie de transport interurbain et vicinal (en tant qu'entité administrative) - finances - budget Résumé : Les chemins de fer privés ont l'obligation d'alimenter un Fonds d'amortissement (anciennement Fonds de renouvellement) pour le renouvellement de leur matériel roulant. Malheureusement, les nouveaux véhicules coûtent nettement plus cher que les anciens, et ces fonds sont insuffisant. Des fonds complémentaires sont nécessaire, mais les provisions qui peuvent être réalisées les bonnes années sont imposables. Les CFF ne sont pas soumis aux même règles et disposent d'une plus grande latitude quant à leurs amortissements. L'installation de sécurité de la compagnie des tramways de Neuchâtel / Oscar Bovet in Les transports publics, An. 7, no 12 (Décembre 1951)
[article]
Titre : L'installation de sécurité de la compagnie des tramways de Neuchâtel Type de document : texte imprimé Auteurs : Oscar Bovet, Auteur Année de publication : 1951 Article en page(s) : P. 7-8 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Auvernier
[Mots-clefs] Colombier
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Fonctionnement
[Mots-clefs] Neuchâtel (canton)
[Mots-clefs] Sécurité
[Mots-clefs] Signalisation lumineuse
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tramway électrique
[Mots-clefs] Voie unique
[Ligne] Boudry
[Ligne] Ligne 5
[Ligne] Place Pury
[Compagnie] TN (Neuchâtel)
[Année] 1951Index. décimale : 4118 Tramway et métro léger interurbain et vicinal - réseau - exploitation, sécurité, signaux, signalisation Résumé : Pour sécuriser l'exploitation du tronçon Auvernier - Colombier de leur ligne Neuchâtel - Boudry, les TN ont installé un système de sémaphores dans ces deux stations. Une installation de sécurité de type classique étant trop onéreuse, le système retenu est plus simple. Lorsque un convoi quitte l'une des stations, son pantographe déclenche l’allumage d'un feu vert pour lui et rouge pour le convoi croiseur. Comme mesure de sécurité supplémentaire, la ligne aérienne du convoi qui se trouve face au feu rouge n'est alimentée que par un faible courant, qui lui permet de rester éclairer, mais pas de démarrer. Une fois que le convoi quitte la voie unique, son pantographe passe sous un nouveau contact qui remet toute l'installation au repos. Le nombre de pantographe passant sous les contacts à l'entrée et à la sortie de la voie unique est compté, ce qui permet à plusieurs trains de même sens de s'y engager simultanément. Si deux convois passent simultanément sous les contacts d'entrée à chaque extrémité de la voie unique, l'installation se bloque et aucun n'obtient le feu vert. Ils doivent donc s'arrêter tous les deux. Toutes les précautions étant prises pour qu'en cas de panne de l'un ou l'autre des composants, la sécurité soit garantie, cette installation est reconnue comme installation de sécurité par l'Office fédéral des transports et non comme une simple signalisation.
in Les transports publics > An. 7, no 12 (Décembre 1951) . - P. 7-8[article] L'installation de sécurité de la compagnie des tramways de Neuchâtel [texte imprimé] / Oscar Bovet, Auteur . - 1951 . - P. 7-8.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 7, no 12 (Décembre 1951) . - P. 7-8
Catégories : [Mots-clefs] Auvernier
[Mots-clefs] Colombier
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Fonctionnement
[Mots-clefs] Neuchâtel (canton)
[Mots-clefs] Sécurité
[Mots-clefs] Signalisation lumineuse
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tramway électrique
[Mots-clefs] Voie unique
[Ligne] Boudry
[Ligne] Ligne 5
[Ligne] Place Pury
[Compagnie] TN (Neuchâtel)
[Année] 1951Index. décimale : 4118 Tramway et métro léger interurbain et vicinal - réseau - exploitation, sécurité, signaux, signalisation Résumé : Pour sécuriser l'exploitation du tronçon Auvernier - Colombier de leur ligne Neuchâtel - Boudry, les TN ont installé un système de sémaphores dans ces deux stations. Une installation de sécurité de type classique étant trop onéreuse, le système retenu est plus simple. Lorsque un convoi quitte l'une des stations, son pantographe déclenche l’allumage d'un feu vert pour lui et rouge pour le convoi croiseur. Comme mesure de sécurité supplémentaire, la ligne aérienne du convoi qui se trouve face au feu rouge n'est alimentée que par un faible courant, qui lui permet de rester éclairer, mais pas de démarrer. Une fois que le convoi quitte la voie unique, son pantographe passe sous un nouveau contact qui remet toute l'installation au repos. Le nombre de pantographe passant sous les contacts à l'entrée et à la sortie de la voie unique est compté, ce qui permet à plusieurs trains de même sens de s'y engager simultanément. Si deux convois passent simultanément sous les contacts d'entrée à chaque extrémité de la voie unique, l'installation se bloque et aucun n'obtient le feu vert. Ils doivent donc s'arrêter tous les deux. Toutes les précautions étant prises pour qu'en cas de panne de l'un ou l'autre des composants, la sécurité soit garantie, cette installation est reconnue comme installation de sécurité par l'Office fédéral des transports et non comme une simple signalisation.