Association genevoise du musée des tramways
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Mention de date : juillet-août 2013
Paru le : 01/08/2013
ISBN/ISSN/EAN : 3781281811901
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[article] Titre : | Le chemin de fer de La Mure : situation à début juin 2013 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Eric Bettega, Auteur | Année de publication : | 2013 | Article en page(s) : | P. 83-84 | Langues : | Français | Catégories : | [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Eboulement [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Isère (département) [Mots-clefs] Suppression [Compagnie] SGLMG [Ligne] La Mure [Ligne] St-Georges-de-Commiers [Année] 2010-2015
| Résumé : | La ligne du chemin de fer de La Mure est interrompue par un important éboulement depuis 2010. Les travaux nécessaires pour la remettre en service en totalité ont un coût beaucoup trop élevé pour cette ligne qui n'a plus qu'un rôle touristique. En 2015, l'exploitation pourrait reprendre sur la partie supérieure de la ligne, qui est la plus spectaculaire. Il n'y aurait plus de liaison avec le réseau SNCF à St-Georges-de-Commiers, mais très peu de voyageurs arrivaient par ce biais. | in Voies ferrées > 198 (juillet-août 2013) . - P. 83-84
[article] Le chemin de fer de La Mure : situation à début juin 2013 [texte imprimé] / Eric Bettega, Auteur . - 2013 . - P. 83-84. Langues : Français in Voies ferrées > 198 (juillet-août 2013) . - P. 83-84 Catégories : | [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Eboulement [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Isère (département) [Mots-clefs] Suppression [Compagnie] SGLMG [Ligne] La Mure [Ligne] St-Georges-de-Commiers [Année] 2010-2015
| Résumé : | La ligne du chemin de fer de La Mure est interrompue par un important éboulement depuis 2010. Les travaux nécessaires pour la remettre en service en totalité ont un coût beaucoup trop élevé pour cette ligne qui n'a plus qu'un rôle touristique. En 2015, l'exploitation pourrait reprendre sur la partie supérieure de la ligne, qui est la plus spectaculaire. Il n'y aurait plus de liaison avec le réseau SNCF à St-Georges-de-Commiers, mais très peu de voyageurs arrivaient par ce biais. |
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[article] Titre : | Maroc : à la poursuite des BB 36000 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Alain Nouailletas, Auteur | Année de publication : | 2013 | Article en page(s) : | P. 37-48 | Langues : | Français | Catégories : | [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Construction [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Grande vitesse [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Locomotive à vapeur [Mots-clefs] Locomotive Diesel [Mots-clefs] Locomotive électrique [Mots-clefs] Maroc [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] TGV [Mots-clefs] Tracé [Compagnie] CFM (Maroc) [Compagnie] CMO [Compagnie] ONCF [Compagnie] TF (Maroc) [Ligne] Casablanca [Ligne] Fes [Ligne] Kenitra [Ligne] Khourigba [Ligne] Tanger [Année] 1907-2015
| Résumé : | Les premiers chemins de fer du Maroc sont construits par l'armée française à partir de 1907. Il s'agit de lignes à voie étroite. Dès 1916, ces lignes militaires sont ouvertes au trafic civil, favorisant le développement économique du pays. La première ligne à voie normale, Tanger - Fès, est mise en service par étapes entre 1923 et 1927. En 2013, le réseau ferroviaire marocain compte 2'167 km de lignes, dont 1'107 sont électrifiés. Une ligne à grande vitesse est en construction entre Kenitra - Tanger. 14 rames TGV ont été commandées à Alsthom pour son exploitation. Le matériel moteur marocain a longtemps été dominé par le matériel français. Des matériels américain, polonais, belge et japonais ont fait leur apparition sur le réseau depuis l'indépendance du pays. Des BB 36000 en location sont utilisées sur la ligne des phosphates, Khouribga - Casablanca, ou elles assurent 80% de l'important trafic marchandises. | in Voies ferrées > 198 (juillet-août 2013) . - P. 37-48
[article] Maroc : à la poursuite des BB 36000 [texte imprimé] / Alain Nouailletas, Auteur . - 2013 . - P. 37-48. Langues : Français in Voies ferrées > 198 (juillet-août 2013) . - P. 37-48 Catégories : | [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Construction [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Grande vitesse [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Locomotive à vapeur [Mots-clefs] Locomotive Diesel [Mots-clefs] Locomotive électrique [Mots-clefs] Maroc [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] TGV [Mots-clefs] Tracé [Compagnie] CFM (Maroc) [Compagnie] CMO [Compagnie] ONCF [Compagnie] TF (Maroc) [Ligne] Casablanca [Ligne] Fes [Ligne] Kenitra [Ligne] Khourigba [Ligne] Tanger [Année] 1907-2015
| Résumé : | Les premiers chemins de fer du Maroc sont construits par l'armée française à partir de 1907. Il s'agit de lignes à voie étroite. Dès 1916, ces lignes militaires sont ouvertes au trafic civil, favorisant le développement économique du pays. La première ligne à voie normale, Tanger - Fès, est mise en service par étapes entre 1923 et 1927. En 2013, le réseau ferroviaire marocain compte 2'167 km de lignes, dont 1'107 sont électrifiés. Une ligne à grande vitesse est en construction entre Kenitra - Tanger. 14 rames TGV ont été commandées à Alsthom pour son exploitation. Le matériel moteur marocain a longtemps été dominé par le matériel français. Des matériels américain, polonais, belge et japonais ont fait leur apparition sur le réseau depuis l'indépendance du pays. Des BB 36000 en location sont utilisées sur la ligne des phosphates, Khouribga - Casablanca, ou elles assurent 80% de l'important trafic marchandises. |
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