Association genevoise du musée des tramways
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Les tramways de Cherbourg / Bernard Rozé in Transports et patrimoine ferroviaires, N° 426 (Novembre/Décembre 2024)
[article]
Titre : Les tramways de Cherbourg : dernière partie (suite du no 425) Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Rozé, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 29-51 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Automotrice à vapeur
[Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Cherbourg
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Manche (département)
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Statistique
[Mots-clefs] Suppression
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Tramway à vapeur
[Mots-clefs] Tramway électrique
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Voie
[Compagnie] CGF-CFS
[Compagnie] CTC (Cherbourg)
[Année] 1890-1944Index. décimale : 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités Résumé : Peu après le début de l'exploitation en 1896, les automotrices Serpolet posent problèmes et font regretter de ne pas avoir choisi la traction électrique. Les études pour la conversion du réseau à la traction électrique débutent en 1898 mais il faudra attendre janvier 1911 pour voir la concrétisation de ce projet. La première guerre mondiale amène une réduction drastique du service des tramways, et le service voyageurs est supprimé sur le tronçon Querqueville - Urville. L'inflation d'après guerre pèse lourdement sur la CTC, qui arrête tous services en juillet 1919, faute de ressources. Le Conseil municipal accorde un relèvement des tarifs, mais en janvier 1920, la compagnie demande une nouvelle fois à augmenter ses tarifs. La seconde guerre mondiale amène également son lot de problèmes, entre les destructions liées aux bombardements et le manque de ressources (huile, électricité...). Les derniers trams circulent le 6 juin 1944, le service ne reprendra pas après la guerre et le matériel sera ferraillé.
En 1896, le matériel voyageur est constitué de 7 automotrices à vapeur Serpollet. L'année suivante, la compagnie acquiert 7 locomotives à vapeur SLM, une 8e, achetée d'occasion à la VE en 1901/02 rejoint le parc. Selon le cahier des charges, seules les automotrices Serpollet doivent être utilisées en service voyageurs. Mais au vu de leurs fréquentes pannes, elles sont rapidement transformées en voitures et remorquées par les locomotives. Pour la mise en service de la traction électrique, 10 automotrices à deux essieux sont en service. Cinq nouvelles automotrices sont mises en service en 1919. Parallèlement au transport des voyageurs, le réseau a assuré le transport de pierres de carrières.
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 426 (Novembre/Décembre 2024) . - P. 29-51[article] Les tramways de Cherbourg : dernière partie (suite du no 425) [texte imprimé] / Bernard Rozé, Auteur . - 2024 . - P. 29-51.
Langues : Français
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 426 (Novembre/Décembre 2024) . - P. 29-51
Catégories : [Mots-clefs] Automotrice à vapeur
[Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Cherbourg
[Mots-clefs] Compagnie
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Manche (département)
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Statistique
[Mots-clefs] Suppression
[Mots-clefs] Tarif
[Mots-clefs] Tramway à vapeur
[Mots-clefs] Tramway électrique
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Voie
[Compagnie] CGF-CFS
[Compagnie] CTC (Cherbourg)
[Année] 1890-1944Index. décimale : 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités Résumé : Peu après le début de l'exploitation en 1896, les automotrices Serpolet posent problèmes et font regretter de ne pas avoir choisi la traction électrique. Les études pour la conversion du réseau à la traction électrique débutent en 1898 mais il faudra attendre janvier 1911 pour voir la concrétisation de ce projet. La première guerre mondiale amène une réduction drastique du service des tramways, et le service voyageurs est supprimé sur le tronçon Querqueville - Urville. L'inflation d'après guerre pèse lourdement sur la CTC, qui arrête tous services en juillet 1919, faute de ressources. Le Conseil municipal accorde un relèvement des tarifs, mais en janvier 1920, la compagnie demande une nouvelle fois à augmenter ses tarifs. La seconde guerre mondiale amène également son lot de problèmes, entre les destructions liées aux bombardements et le manque de ressources (huile, électricité...). Les derniers trams circulent le 6 juin 1944, le service ne reprendra pas après la guerre et le matériel sera ferraillé.
En 1896, le matériel voyageur est constitué de 7 automotrices à vapeur Serpollet. L'année suivante, la compagnie acquiert 7 locomotives à vapeur SLM, une 8e, achetée d'occasion à la VE en 1901/02 rejoint le parc. Selon le cahier des charges, seules les automotrices Serpollet doivent être utilisées en service voyageurs. Mais au vu de leurs fréquentes pannes, elles sont rapidement transformées en voitures et remorquées par les locomotives. Pour la mise en service de la traction électrique, 10 automotrices à deux essieux sont en service. Cinq nouvelles automotrices sont mises en service en 1919. Parallèlement au transport des voyageurs, le réseau a assuré le transport de pierres de carrières.Les tramways de Cherbourg / Bernard Rozé in Transports et patrimoine ferroviaires, N° 425 (Septembre/Octobre 2024)
[article]
Titre : Les tramways de Cherbourg : première partie Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Rozé, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 4-19 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Automotrice à vapeur
[Mots-clefs] Cherbourg
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Manche (département)
[Mots-clefs] Mise en service
[Mots-clefs] Place du Château
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Tracé
[Mots-clefs] Tramway à cheval
[Mots-clefs] Tramway à vapeur
[Mots-clefs] Tramway électrique
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Compagnie] CGF-CFS
[Compagnie] CTC (Cherbourg)
[Ligne] Place de Tourlaville
[Ligne] Querqueville
[Ligne] Urville
[Année] 1872-1936Index. décimale : 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités Résumé : Lors de la première adjudication du réseau de tramway de Cherbourg en 1872, personne ne se présenta. De nouvelles tentatives eurent lieu les années suivantes, avec la compagnie anglaise "Empire Syndicate Ltd", qui finit par ne plus donner signe de vie, et la Compagnie générale française des chemins de fer secondaires, qui reçut la concession le 25 juillet 1891, mais fut entrainée dans la faillite de la banque des chemins de fer, dont elle était une émanation, avant d'avoir pu commencer les travaux. C'est finalement la Compagnie des tramways de Cherbourg (CTC) qui met en service la ligne entre les places du Château et de Tourlaville le 26 novembre 1896. La ligne est prolongée de la place du château à Querqueville le 23 mai 1897. Le réseau urbain est prolongé le 13 avril 1911 par la ligne suburbaine Querqueville - Urville, pensée à l'origine comme chemin de fer d'intérêt local. Les années d'attente pour la réalisation du réseau urbain voient également des discussions quant au mode de traction: hippomobile à l'origine, c'est finalement la vapeur, avec des automotrices Serpolet qui est choisie, même si la traction électrique a été évoquée. En 1911, le réseau urbain est électrifié, ce qui libère des locomotives à vapeur pour l'exploitation de la ligne Querqueville - Urville. Si l'électrification de celle-ci est également envisagée, la première guerre mondiale empêche la réalisation du projet et conduit même à la suppression des circulations sur cette ligne. Il faut attendre 1920 pour voir l'inauguration de la traction électrique sur cette ligne.
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 425 (Septembre/Octobre 2024) . - P. 4-19[article] Les tramways de Cherbourg : première partie [texte imprimé] / Bernard Rozé, Auteur . - 2024 . - P. 4-19.
Langues : Français
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 425 (Septembre/Octobre 2024) . - P. 4-19
Catégories : [Mots-clefs] Automotrice à vapeur
[Mots-clefs] Cherbourg
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1914-18
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Manche (département)
[Mots-clefs] Mise en service
[Mots-clefs] Place du Château
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Tracé
[Mots-clefs] Tramway à cheval
[Mots-clefs] Tramway à vapeur
[Mots-clefs] Tramway électrique
[Mots-clefs] Transport de marchandise
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Compagnie] CGF-CFS
[Compagnie] CTC (Cherbourg)
[Ligne] Place de Tourlaville
[Ligne] Querqueville
[Ligne] Urville
[Année] 1872-1936Index. décimale : 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités Résumé : Lors de la première adjudication du réseau de tramway de Cherbourg en 1872, personne ne se présenta. De nouvelles tentatives eurent lieu les années suivantes, avec la compagnie anglaise "Empire Syndicate Ltd", qui finit par ne plus donner signe de vie, et la Compagnie générale française des chemins de fer secondaires, qui reçut la concession le 25 juillet 1891, mais fut entrainée dans la faillite de la banque des chemins de fer, dont elle était une émanation, avant d'avoir pu commencer les travaux. C'est finalement la Compagnie des tramways de Cherbourg (CTC) qui met en service la ligne entre les places du Château et de Tourlaville le 26 novembre 1896. La ligne est prolongée de la place du château à Querqueville le 23 mai 1897. Le réseau urbain est prolongé le 13 avril 1911 par la ligne suburbaine Querqueville - Urville, pensée à l'origine comme chemin de fer d'intérêt local. Les années d'attente pour la réalisation du réseau urbain voient également des discussions quant au mode de traction: hippomobile à l'origine, c'est finalement la vapeur, avec des automotrices Serpolet qui est choisie, même si la traction électrique a été évoquée. En 1911, le réseau urbain est électrifié, ce qui libère des locomotives à vapeur pour l'exploitation de la ligne Querqueville - Urville. Si l'électrification de celle-ci est également envisagée, la première guerre mondiale empêche la réalisation du projet et conduit même à la suppression des circulations sur cette ligne. Il faut attendre 1920 pour voir l'inauguration de la traction électrique sur cette ligne.