[article] Titre : | Les tramways de Cherbourg : dernière partie (suite du no 425) | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Bernard Rozé, Auteur | Année de publication : | 2024 | Article en page(s) : | P. 29-51 | Langues : | Français | Catégories : | [Mots-clefs] Automotrice à vapeur [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Cherbourg [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Electrification [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Guerre 1914-18 [Mots-clefs] Guerre 1939-45 [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Locomotive à vapeur [Mots-clefs] Manche (département) [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Statistique [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] Tarif [Mots-clefs] Tramway à vapeur [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Transport de marchandise [Mots-clefs] Transport de voyageur [Mots-clefs] Voie [Compagnie] CGF-CFS [Compagnie] CTC (Cherbourg) [Année] 1890-1944
| Index. décimale : | 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités | Résumé : | Peu après le début de l'exploitation en 1896, les automotrices Serpolet posent problèmes et font regretter de ne pas avoir choisi la traction électrique. Les études pour la conversion du réseau à la traction électrique débutent en 1898 mais il faudra attendre janvier 1911 pour voir la concrétisation de ce projet. La première guerre mondiale amène une réduction drastique du service des tramways, et le service voyageurs est supprimé sur le tronçon Querqueville - Urville. L'inflation d'après guerre pèse lourdement sur la CTC, qui arrête tous services en juillet 1919, faute de ressources. Le Conseil municipal accorde un relèvement des tarifs, mais en janvier 1920, la compagnie demande une nouvelle fois à augmenter ses tarifs. La seconde guerre mondiale amène également son lot de problèmes, entre les destructions liées aux bombardements et le manque de ressources (huile, électricité...). Les derniers trams circulent le 6 juin 1944, le service ne reprendra pas après la guerre et le matériel sera ferraillé.
En 1896, le matériel voyageur est constitué de 7 automotrices à vapeur Serpollet. L'année suivante, la compagnie acquiert 7 locomotives à vapeur SLM, une 8e, achetée d'occasion à la VE en 1901/02 rejoint le parc. Selon le cahier des charges, seules les automotrices Serpollet doivent être utilisées en service voyageurs. Mais au vu de leurs fréquentes pannes, elles sont rapidement transformées en voitures et remorquées par les locomotives. Pour la mise en service de la traction électrique, 10 automotrices à deux essieux sont en service. Cinq nouvelles automotrices sont mises en service en 1919. Parallèlement au transport des voyageurs, le réseau a assuré le transport de pierres de carrières. | in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 426 (Novembre/Décembre 2024) . - P. 29-51
[article] Les tramways de Cherbourg : dernière partie (suite du no 425) [texte imprimé] / Bernard Rozé, Auteur . - 2024 . - P. 29-51. Langues : Français in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 426 (Novembre/Décembre 2024) . - P. 29-51 Catégories : | [Mots-clefs] Automotrice à vapeur [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Cherbourg [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Electrification [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Guerre 1914-18 [Mots-clefs] Guerre 1939-45 [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Locomotive à vapeur [Mots-clefs] Manche (département) [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Statistique [Mots-clefs] Suppression [Mots-clefs] Tarif [Mots-clefs] Tramway à vapeur [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Transport de marchandise [Mots-clefs] Transport de voyageur [Mots-clefs] Voie [Compagnie] CGF-CFS [Compagnie] CTC (Cherbourg) [Année] 1890-1944
| Index. décimale : | 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités | Résumé : | Peu après le début de l'exploitation en 1896, les automotrices Serpolet posent problèmes et font regretter de ne pas avoir choisi la traction électrique. Les études pour la conversion du réseau à la traction électrique débutent en 1898 mais il faudra attendre janvier 1911 pour voir la concrétisation de ce projet. La première guerre mondiale amène une réduction drastique du service des tramways, et le service voyageurs est supprimé sur le tronçon Querqueville - Urville. L'inflation d'après guerre pèse lourdement sur la CTC, qui arrête tous services en juillet 1919, faute de ressources. Le Conseil municipal accorde un relèvement des tarifs, mais en janvier 1920, la compagnie demande une nouvelle fois à augmenter ses tarifs. La seconde guerre mondiale amène également son lot de problèmes, entre les destructions liées aux bombardements et le manque de ressources (huile, électricité...). Les derniers trams circulent le 6 juin 1944, le service ne reprendra pas après la guerre et le matériel sera ferraillé.
En 1896, le matériel voyageur est constitué de 7 automotrices à vapeur Serpollet. L'année suivante, la compagnie acquiert 7 locomotives à vapeur SLM, une 8e, achetée d'occasion à la VE en 1901/02 rejoint le parc. Selon le cahier des charges, seules les automotrices Serpollet doivent être utilisées en service voyageurs. Mais au vu de leurs fréquentes pannes, elles sont rapidement transformées en voitures et remorquées par les locomotives. Pour la mise en service de la traction électrique, 10 automotrices à deux essieux sont en service. Cinq nouvelles automotrices sont mises en service en 1919. Parallèlement au transport des voyageurs, le réseau a assuré le transport de pierres de carrières. |
|