An. 2, no 6 Juin 1946 An. 2, no 7 Juillet 1946 An. 2, no 8 Août 1946 An. 2, no 9 Septembre 1946 An. 2, no 10 Octobre 1946 An. 2, no 11 Novembre 1946 An. 2, no 12 Décembre 1946 Les transports publics / Union d'entreprises suisses de transport . An. 2, no 9 Mention de date :  Septembre 1946 Paru le :  01/09/1946

Dépouillements

Le cinquantenaire des tramways de la ville de Zurich in Les transports publics, An. 2, no 9 (Septembre 1946)

Public ISBD [article]  inLes transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 7-8 Titre : Le cinquantenaire des tramways de la ville de Zurich Type de document : texte imprimé Année de publication : 1946 Article en page(s) : P. 7-8 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Modernisation [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tramway à cheval [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Zurich [Compagnie] StStZ [Compagnie] ZStG [Année] 1822-1946 Index. décimale : 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités Résumé : Le tram à cheval apparaît à Zurich en 1882. Première du continent européen, la ville de Zurich reprend l'exploitation des tramways le 1er juillet 1896, il y a 50 ans. Dès 1894 circulent les premiers trams électriques et le dernier tram à cheval disparaît en 1900. Depuis, les transports publics se sont fortement développés et la construction d'habitations dans les quartiers périphériques nécessite de renforcer les moyens de transport avec le centre ville. De nombreux projets de développement du réseau sont en cours. [article] Le cinquantenaire des tramways de la ville de Zurich [texte imprimé] . - 1946 . - P. 7-8. Langues : Français in Les transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 7-8 Catégories : [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Modernisation [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tramway à cheval [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Zurich [Compagnie] StStZ [Compagnie] ZStG [Année] 1822-1946 Index. décimale : 3190 Tramway et métro léger urbain - histoire - généralités Résumé : Le tram à cheval apparaît à Zurich en 1882. Première du continent européen, la ville de Zurich reprend l'exploitation des tramways le 1er juillet 1896, il y a 50 ans. Dès 1894 circulent les premiers trams électriques et le dernier tram à cheval disparaît en 1900. Depuis, les transports publics se sont fortement développés et la construction d'habitations dans les quartiers périphériques nécessite de renforcer les moyens de transport avec le centre ville. De nombreux projets de développement du réseau sont en cours.

Un projet centenaire / Jean-Frédéric Rouiller in Les transports publics, An. 2, no 9 (Septembre 1946)

Public ISBD [article]  inLes transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 10-11 Titre : Un projet centenaire : la ligne Genève - Lausanne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Frédéric Rouiller, Auteur Année de publication : 1946 Article en page(s) : P. 10-11 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Construction [Mots-clefs] Genève (canton) [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Projet [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Vaud [Compagnie] GV (Genève-Versoix) [Compagnie] LFB (Lausanne) [Compagnie] LG (France) [Compagnie] OS [Compagnie] PLM [Ligne] 150 [Ligne] Genève-Cornavin [Ligne] Lausanne [Année] 1845-1860 Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : C'est en 1845 qu'apparaît l'idée d'une ligne ferroviaire entre Genève et Lausanne. A la fin de cette même année, une compagnie anglaise propose la réalisation d'une ligne Constance - Genève, mais cette société n'est pas jugée suffisamment solide par les autorités. En 1850, les experts mandatés par la confédération, les ingénieurs anglais R. Stephenson et H. Swinburne préconisent une ligne de chemin de fer de Morges à Yverdon et la navigation sur les lacs Léman et de Neuchâtel. En 1855, les lignes Yverdon - Bussigny et Renens - Lausanne sont mises en exploitation. Le Conseil d'Etat genevois est quant à lui en tractations avec la compagnie Lyon - Genève pour construire une ligne jusqu'à Versoix. Cette concession est ensuite transférée à la compagnie du Lausanne - Fribourg - frontière bernoise. Le 16 mars 1858, Genève inaugure sa gare et la ligne Lyon - Genève ; le 14 avril voit l'inauguration par la compagnie de l'Ouest Suisse de la ligne Coppet - Morges et la totalité de la ligne Genève - Lausanne est en exploitation au mois d'août 1858. Le trafic se développe rapidement et la ligne est parfaitement rentable, contrairement aux craintes des experts fédéraux. [article] Un projet centenaire : la ligne Genève - Lausanne [texte imprimé] / Jean-Frédéric Rouiller, Auteur . - 1946 . - P. 10-11. Langues : Français in Les transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 10-11 Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Construction [Mots-clefs] Genève (canton) [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Projet [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Vaud [Compagnie] GV (Genève-Versoix) [Compagnie] LFB (Lausanne) [Compagnie] LG (France) [Compagnie] OS [Compagnie] PLM [Ligne] 150 [Ligne] Genève-Cornavin [Ligne] Lausanne [Année] 1845-1860 Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : C'est en 1845 qu'apparaît l'idée d'une ligne ferroviaire entre Genève et Lausanne. A la fin de cette même année, une compagnie anglaise propose la réalisation d'une ligne Constance - Genève, mais cette société n'est pas jugée suffisamment solide par les autorités. En 1850, les experts mandatés par la confédération, les ingénieurs anglais R. Stephenson et H. Swinburne préconisent une ligne de chemin de fer de Morges à Yverdon et la navigation sur les lacs Léman et de Neuchâtel. En 1855, les lignes Yverdon - Bussigny et Renens - Lausanne sont mises en exploitation. Le Conseil d'Etat genevois est quant à lui en tractations avec la compagnie Lyon - Genève pour construire une ligne jusqu'à Versoix. Cette concession est ensuite transférée à la compagnie du Lausanne - Fribourg - frontière bernoise. Le 16 mars 1858, Genève inaugure sa gare et la ligne Lyon - Genève ; le 14 avril voit l'inauguration par la compagnie de l'Ouest Suisse de la ligne Coppet - Morges et la totalité de la ligne Genève - Lausanne est en exploitation au mois d'août 1858. Le trafic se développe rapidement et la ligne est parfaitement rentable, contrairement aux craintes des experts fédéraux.

Importants travaux au pont du Mont-Blanc à Genève / F Grivel in Les transports publics, An. 2, no 9 (Septembre 1946)

Public ISBD [article]  inLes transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 12-13 Titre : Importants travaux au pont du Mont-Blanc à Genève Type de document : texte imprimé Auteurs : F Grivel, Auteur Année de publication : 1946 Article en page(s) : P. 12-13 Langues : Français Catégories : [Ligne] BIT [Ligne] Ceinture [Ligne] Ligne 1 [Ligne] Ligne 5 [Ligne] Ligne 6 [Ligne] Molard [Ligne] Vernier [Ligne] Veyrier [Mots-clefs] Chaussée [Mots-clefs] Genève [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Mont-Blanc, pont du [Mots-clefs] Ouvrage d'art [Mots-clefs] Pont [Mots-clefs] Renouvellement [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Travaux [Mots-clefs] Voie [Compagnie] CGTE [Année] 1946 Index. décimale : 3124 Tramway et métro léger urbain - infrastructure, ouvrage d'art, superstructure, énergie - entretien, réparation, renouvellement de la voie, modification du plan de voie Résumé : Des travaux de réfection des voies et des chaussées du pont du Mont-Blanc à Genève étaient nécessaires depuis de nombreuses années mais n'avaient pu être réalisés en raison de la guerre. Ils ont eu lieu à la fin de l'année 1945. La double voie de tram a été remplacée et le pavage en bois de la chaussée remplacé par un revêtement d'asphalte. Pour permettre la réalisation de ces travaux sans interruption de la circulation des trois lignes de tram qui franchissent l'ouvrage, des aiguillages volants ont été mis en place pour créer des tronçons de voie unique. Ceux-ci étaient d'une longueur maximale de 130 mètres afin de limiter les perturbations d'exploitation. [article] Importants travaux au pont du Mont-Blanc à Genève [texte imprimé] / F Grivel, Auteur . - 1946 . - P. 12-13. Langues : Français in Les transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 12-13 Catégories : [Ligne] BIT [Ligne] Ceinture [Ligne] Ligne 1 [Ligne] Ligne 5 [Ligne] Ligne 6 [Ligne] Molard [Ligne] Vernier [Ligne] Veyrier [Mots-clefs] Chaussée [Mots-clefs] Genève [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Mont-Blanc, pont du [Mots-clefs] Ouvrage d'art [Mots-clefs] Pont [Mots-clefs] Renouvellement [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Travaux [Mots-clefs] Voie [Compagnie] CGTE [Année] 1946 Index. décimale : 3124 Tramway et métro léger urbain - infrastructure, ouvrage d'art, superstructure, énergie - entretien, réparation, renouvellement de la voie, modification du plan de voie Résumé : Des travaux de réfection des voies et des chaussées du pont du Mont-Blanc à Genève étaient nécessaires depuis de nombreuses années mais n'avaient pu être réalisés en raison de la guerre. Ils ont eu lieu à la fin de l'année 1945. La double voie de tram a été remplacée et le pavage en bois de la chaussée remplacé par un revêtement d'asphalte. Pour permettre la réalisation de ces travaux sans interruption de la circulation des trois lignes de tram qui franchissent l'ouvrage, des aiguillages volants ont été mis en place pour créer des tronçons de voie unique. Ceux-ci étaient d'une longueur maximale de 130 mètres afin de limiter les perturbations d'exploitation.

Origine du billet de chemin de fer in Les transports publics, An. 2, no 9 (Septembre 1946)

Public ISBD [article]  inLes transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 14 Titre : Origine du billet de chemin de fer Type de document : texte imprimé Année de publication : 1946 Article en page(s) : P. 14 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Angleterre [Mots-clefs] Billet [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Edmonson, Thomas [Année] 1850 Index. décimale : 4352 Chemin de fer interurbain et vicinal - transport de voyageurs - tarif, perception, vente des billets, réductions tarifaires, gratuité, fraude, fraudeurs Résumé : Aux débuts du chemin de fer, les chefs de gare devaient écrire les billets à la main. Comme les voyageurs arrivaient juste avant l'heure du train, ceux-ci prenaient souvent beaucoup de retard. Thomas Edmonson, chef de gare près de Carlisle, eut l'idée de préimprimer les billets, sur lesquels il ne restait plus qu'à ajouter le prix à la main. Il présenta son invention à sa direction qui ne se montra pas intéressée. Edmonson offrit donc ses services à une autre compagnie, qui s'empressa de l'engager. Il fonda ensuite avec son frère une société pour fournir des billets aux compagnies de chemin de fer. Lorsqu'il mourut, en 1851, il ne restait en Grande-Bretagne que très peu de gares dans lesquelles les billets étaient encore écrits à la main. [article] Origine du billet de chemin de fer [texte imprimé] . - 1946 . - P. 14. Langues : Français in Les transports publics > An. 2, no 9 (Septembre 1946) . - P. 14 Catégories : [Mots-clefs] Angleterre [Mots-clefs] Billet [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Edmonson, Thomas [Année] 1850 Index. décimale : 4352 Chemin de fer interurbain et vicinal - transport de voyageurs - tarif, perception, vente des billets, réductions tarifaires, gratuité, fraude, fraudeurs Résumé : Aux débuts du chemin de fer, les chefs de gare devaient écrire les billets à la main. Comme les voyageurs arrivaient juste avant l'heure du train, ceux-ci prenaient souvent beaucoup de retard. Thomas Edmonson, chef de gare près de Carlisle, eut l'idée de préimprimer les billets, sur lesquels il ne restait plus qu'à ajouter le prix à la main. Il présenta son invention à sa direction qui ne se montra pas intéressée. Edmonson offrit donc ses services à une autre compagnie, qui s'empressa de l'engager. Il fonda ensuite avec son frère une société pour fournir des billets aux compagnies de chemin de fer. Lorsqu'il mourut, en 1851, il ne restait en Grande-Bretagne que très peu de gares dans lesquelles les billets étaient encore écrits à la main.

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