Association genevoise du musée des tramways
A partir de cette page vous pouvez :
Mention de date : juillet-août 1984
Paru le : 00/00/0000
|
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier

[article] Titre : | Bellegarde - Divonne quatre ans après | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Francis Joachim Faust, Auteur | Article en page(s) : | P. 6-11 | Langues : | Français | Catégories : | [Mots-clefs] Ain (département) [Mots-clefs] Bus [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Coût [Mots-clefs] Economie [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Pays de Gex [Mots-clefs] Remplacement [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tourisme [Mots-clefs] Transport de marchandise [Mots-clefs] Transport de voyageur [Mots-clefs] Vaud [Compagnie] CFF (Suisse) [Compagnie] NC (Suisse) [Compagnie] PLM [Compagnie] SNCF [Ligne] Bellegarde-sur-Valserine [Ligne] Crassier [Ligne] Divonne-les-Bains [Ligne] Nyon [Année] 1893-1984
| Résumé : | L'ouverture du chemin de fer Lyon - Genève en 1858 polarise le trafic marchandises sur Genève au détriment du Pays-de-Gex qui voit celles qui lui sont déstinées transiter par la Suisse. Les communes françaises demandent donc la réalisation de la ligne Bellegarde - Divonne, ce qui est fait en 1899. La ligne est prolongée jusqu'à Nyon en 1905. La ville de Divonne bénéficie du chemin-de-fer pour son développement touristique. Durant la seconde guerre mondiale, des bus remplacent les trains de voyageurs, mais des autorails sont remis en service en 1949. En 1962, la construction de l'autoroute Lausanne - Genève entraîne la suppression de la ligne Nyon - Divonne. La ligne Bellegarde - Divonne devient un cul-de-sac et perd de son importance. En fonction des coûts d'exploitation du trafic voyageur, le report sur route est réalisé en 1980, malgré l'opposition locale. Le service marchandise est maintenu, régulièrement entre Bellegarde et Gex, mais à la demande jusqu'à Divonne. | in Voies ferrées > 24 (juillet-août 1984) . - P. 6-11
[article] Bellegarde - Divonne quatre ans après [texte imprimé] / Francis Joachim Faust, Auteur . - P. 6-11. Langues : Français in Voies ferrées > 24 (juillet-août 1984) . - P. 6-11 Catégories : | [Mots-clefs] Ain (département) [Mots-clefs] Bus [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Coût [Mots-clefs] Economie [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Pays de Gex [Mots-clefs] Remplacement [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tourisme [Mots-clefs] Transport de marchandise [Mots-clefs] Transport de voyageur [Mots-clefs] Vaud [Compagnie] CFF (Suisse) [Compagnie] NC (Suisse) [Compagnie] PLM [Compagnie] SNCF [Ligne] Bellegarde-sur-Valserine [Ligne] Crassier [Ligne] Divonne-les-Bains [Ligne] Nyon [Année] 1893-1984
| Résumé : | L'ouverture du chemin de fer Lyon - Genève en 1858 polarise le trafic marchandises sur Genève au détriment du Pays-de-Gex qui voit celles qui lui sont déstinées transiter par la Suisse. Les communes françaises demandent donc la réalisation de la ligne Bellegarde - Divonne, ce qui est fait en 1899. La ligne est prolongée jusqu'à Nyon en 1905. La ville de Divonne bénéficie du chemin-de-fer pour son développement touristique. Durant la seconde guerre mondiale, des bus remplacent les trains de voyageurs, mais des autorails sont remis en service en 1949. En 1962, la construction de l'autoroute Lausanne - Genève entraîne la suppression de la ligne Nyon - Divonne. La ligne Bellegarde - Divonne devient un cul-de-sac et perd de son importance. En fonction des coûts d'exploitation du trafic voyageur, le report sur route est réalisé en 1980, malgré l'opposition locale. Le service marchandise est maintenu, régulièrement entre Bellegarde et Gex, mais à la demande jusqu'à Divonne. |
|

[article] Titre : | Les tramways de Léningrad | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Roland Kallmann, Auteur | Article en page(s) : | P. 19-25 | Langues : | Français | Catégories : | [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Bus [Mots-clefs] Caractéristique technique [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Dépôt [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Fréquentation [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Kilométrage [Mots-clefs] Métro [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Personnel [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Russie [Mots-clefs] St-Petersbourg [Mots-clefs] Tramway à cheval [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Transport de marchandise [Mots-clefs] Transport de voyageur [Mots-clefs] Transport public [Mots-clefs] Trolleybus [Mots-clefs] URSS [Mots-clefs] Vitesse commerciale [Compagnie] LT (Leningrad) [Année] 1880-1979
| Résumé : | Le premier tramway hippomobile de Saint-Pétersbourg est mis en service en 1880, et c'est en 1907 qu'est mis en service le premier tram électrique dans les rues de la ville (dès l'hiver 1895/96, des lignes de tram électrique temporaires étaient construites sur la Newa gelée). En 1979, le réseau de tram compte 56 lignes pour une longueur totale de 640 km. Chaque année, le réseau s'allonge de 15 à 18 km. Les trams transportent tant des voyageurs que des marchandises. La ville dispose en plus de 44 lignes de trolleybus (500 km.), 3 de métro (60 km) ainsi que d'un important réseau de bus. Les transports publics sont très utilisés et malgré une capacité et des fréquences élevées, les voyageurs de certaines lignes doivent parfois laisser passer plusieurs véhicules avant de trouver une place. La ville compte 4,5 millions d'habitants et s'étend sur 580 km2. Bien que le nombre de voitures individuelles soit faible (150'000 = 1 pour 30 habitants), les embouteillages sont fréquents. | in Voies ferrées > 24 (juillet-août 1984) . - P. 19-25
|


[article] Titre : | NStCM : XTm 251 : un drôle d'engin | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Eric Rahm, Auteur | Article en page(s) : | P. 61 | Langues : | Français | Catégories : | [Mots-clefs] 251 [Mots-clefs] Caractéristique technique [Mots-clefs] Chasse-neige [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Vaud [Mots-clefs] Véhicule de service [Mots-clefs] XTm [Année] 1984 [Compagnie] NStCM [Ligne] 155 [Ligne] La Cure [Ligne] Nyon
| Résumé : | Le chemin de fer Nyon - St-Cergue - La Cure a reçu un nouveau véhicule de service à traction autonome. Ce véhicule est polyvalent et peut être équipé au choix d'un chasse neige rotatif, d'une grande benne basculante ou d'une petite benne completée d'une grue. Pour le déneigement, ce véhicule remplace les moyens vétustes utilisés jusqu'alors. Il est aussi apte à remorquer une automotrice en détresse. | in Voies ferrées > 24 (juillet-août 1984) . - P. 61
[article] NStCM : XTm 251 : un drôle d'engin [texte imprimé] / Eric Rahm, Auteur . - P. 61. Langues : Français in Voies ferrées > 24 (juillet-août 1984) . - P. 61 Catégories : | [Mots-clefs] 251 [Mots-clefs] Caractéristique technique [Mots-clefs] Chasse-neige [Mots-clefs] Chemin de fer privé [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Vaud [Mots-clefs] Véhicule de service [Mots-clefs] XTm [Année] 1984 [Compagnie] NStCM [Ligne] 155 [Ligne] La Cure [Ligne] Nyon
| Résumé : | Le chemin de fer Nyon - St-Cergue - La Cure a reçu un nouveau véhicule de service à traction autonome. Ce véhicule est polyvalent et peut être équipé au choix d'un chasse neige rotatif, d'une grande benne basculante ou d'une petite benne completée d'une grue. Pour le déneigement, ce véhicule remplace les moyens vétustes utilisés jusqu'alors. Il est aussi apte à remorquer une automotrice en détresse. |
|

Exemplaires