Association genevoise du musée des tramways
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Mention de date : Décembre 1948
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Dépouillements


Un anniversaire au chemin de fer de la Jungfrau in Les transports publics, An. 4, no 12 (Décembre 1948)
[article]
Titre : Un anniversaire au chemin de fer de la Jungfrau Type de document : texte imprimé Année de publication : 1948 Article en page(s) : P. 6-7 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Berne
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Coût
[Mots-clefs] Financement
[Mots-clefs] Guyer-Zeller, Adolphe
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Ouvrage d'art
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Strub, Emil Viktor
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tunnel
[Ligne] 311
[Ligne] 312
[Ligne] Jungfraujoch
[Ligne] Kleine Scheidegg
[Compagnie] JB (Jungfrau)
[Année] 1864-1947Index. décimale : 4311 Chemin de fer interurbain et vicinal - réseau - projet et ouverture de nouvelles lignes Résumé : Le 20 septembre 1898 était mis en service le premier tronçon du chemin de fer de la Jungfrau, entre la Kleine Scheidegg et Eigergletscher. Un premier projet remonte à 1864, d'autres sont présentés en 1889 et 1890, mais c'est en 1893 que le financier zurichois Adophe Guyer-Zeller a l'idée du tracé qui sera retenu. En décembre 1894, il obtient la concession nécessaire, assortie, sur sa proposition, de l'obligation de construire à la Jungfrau un observatoire et à verser annuellement 6'000 fr. pour son fonctionnement. Faute d'appui des banques, Adolphe Guyer-Zeller fournira lui-même les 2,5 millions de francs nécessaires au démarrage de la construction. Celle-ci commence le 27 juillet 1896. C'est en janvier 1898 qu'une société anonyme est constituée. Son premier directeur est l'ingénieur Emile Strub, qui applique pour la première fois au chemin de fer de la Jungfrau le système de crémaillère qui porte son nom. Le percement du tunnel s'achève le 21 juillet 1912, la station du Jungfraujoch étant mise en service le 1er août suivant. La construction aura duré 16 ans et coûté 16 millions de francs. L'observatoire sera inauguré en 1937.
in Les transports publics > An. 4, no 12 (Décembre 1948) . - P. 6-7[article] Un anniversaire au chemin de fer de la Jungfrau [texte imprimé] . - 1948 . - P. 6-7.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 4, no 12 (Décembre 1948) . - P. 6-7
Catégories : [Mots-clefs] Berne
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Coût
[Mots-clefs] Financement
[Mots-clefs] Guyer-Zeller, Adolphe
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Ouvrage d'art
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Strub, Emil Viktor
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tunnel
[Ligne] 311
[Ligne] 312
[Ligne] Jungfraujoch
[Ligne] Kleine Scheidegg
[Compagnie] JB (Jungfrau)
[Année] 1864-1947Index. décimale : 4311 Chemin de fer interurbain et vicinal - réseau - projet et ouverture de nouvelles lignes Résumé : Le 20 septembre 1898 était mis en service le premier tronçon du chemin de fer de la Jungfrau, entre la Kleine Scheidegg et Eigergletscher. Un premier projet remonte à 1864, d'autres sont présentés en 1889 et 1890, mais c'est en 1893 que le financier zurichois Adophe Guyer-Zeller a l'idée du tracé qui sera retenu. En décembre 1894, il obtient la concession nécessaire, assortie, sur sa proposition, de l'obligation de construire à la Jungfrau un observatoire et à verser annuellement 6'000 fr. pour son fonctionnement. Faute d'appui des banques, Adolphe Guyer-Zeller fournira lui-même les 2,5 millions de francs nécessaires au démarrage de la construction. Celle-ci commence le 27 juillet 1896. C'est en janvier 1898 qu'une société anonyme est constituée. Son premier directeur est l'ingénieur Emile Strub, qui applique pour la première fois au chemin de fer de la Jungfrau le système de crémaillère qui porte son nom. Le percement du tunnel s'achève le 21 juillet 1912, la station du Jungfraujoch étant mise en service le 1er août suivant. La construction aura duré 16 ans et coûté 16 millions de francs. L'observatoire sera inauguré en 1937. Le raccordement ferroviaire de Genève / Jean-Frédéric Rouiller in Les transports publics, An. 4, no 12 (Décembre 1948)
[article]
Titre : Le raccordement ferroviaire de Genève : tout arrive..., ou l'histoire d'un projet dont on parle depuis cent ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Frédéric Rouiller, Auteur Année de publication : 1948 Article en page(s) : P. 12-14 Langues : Français Catégories : [Ligne] 151
[Ligne] 3151
[Ligne] Annemasse
[Ligne] CEVA
[Ligne] Genève-Cornavin
[Ligne] Genève-Eaux-Vives
[Ligne] La Praille
[Ligne] Veyrier
[Mots-clefs] Bâtiment
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gare
[Mots-clefs] Genève (canton)
[Mots-clefs] Genève-Cornavin (gare)
[Mots-clefs] Haute-Savoie
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Jonction (viaduc)
[Mots-clefs] Longemalle (gare)
[Mots-clefs] Ouvrage d'art
[Mots-clefs] Pont
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Raccordement
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tracé
[Mots-clefs] Tunnel
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] PLM
[Année] 1845-1948Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : La construction du raccordement ferroviaire de Genève à la Haute-Savoie a été entreprise début 1941. Le projet du raccordement est aussi ancien que les projets d'arrivée du chemin de fer à Genève. Le premier projet de gare connu remonte à 1845, elle devait se situer à Longemalle, au plus près des quartiers commerçants du centre. C'est finalement l'emplacement de Cornavin qui est retenu pour la gare de la ligne Lyon-Genève, inaugurée en 1858, où vient se raccorder peu de temps après la ligne Lausanne-Genève. Il manque une liaison vers la ligne Annecy-Annemasse. Une convention à ce sujet est signée avec la France en juillet 1869 et approuvée le 24 novembre suivant par le Conseil fédéral et le gouvernement français. Le 5 février 1870, le Grand Conseil genevois autorise l'Etat à s'engager à construire le tronçon Genève - frontière française, mais la guerre de 1870 vient tout remettre en question. Il faut attendre le 22 juin 1877 pour qu'un arrêté fédéral consacre le tracé du raccordement, mais des discussions sur un éventuel tracé par Veyrier empêchent toute réalisation. Incapable de prendre parti dans le débat, le gouvernement genevois décide de ne construire que le tronçon Annemasse-Eaux-Vives, inauguré le 27 mai 1888. La construction débutée en 1941 se base sur un projet de tracé remontant à 1894.
in Les transports publics > An. 4, no 12 (Décembre 1948) . - P. 12-14[article] Le raccordement ferroviaire de Genève : tout arrive..., ou l'histoire d'un projet dont on parle depuis cent ans [texte imprimé] / Jean-Frédéric Rouiller, Auteur . - 1948 . - P. 12-14.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 4, no 12 (Décembre 1948) . - P. 12-14
Catégories : [Ligne] 151
[Ligne] 3151
[Ligne] Annemasse
[Ligne] CEVA
[Ligne] Genève-Cornavin
[Ligne] Genève-Eaux-Vives
[Ligne] La Praille
[Ligne] Veyrier
[Mots-clefs] Bâtiment
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Gare
[Mots-clefs] Genève (canton)
[Mots-clefs] Genève-Cornavin (gare)
[Mots-clefs] Haute-Savoie
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Jonction (viaduc)
[Mots-clefs] Longemalle (gare)
[Mots-clefs] Ouvrage d'art
[Mots-clefs] Pont
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Raccordement
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Tracé
[Mots-clefs] Tunnel
[Compagnie] CFF (Suisse)
[Compagnie] PLM
[Année] 1845-1948Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : La construction du raccordement ferroviaire de Genève à la Haute-Savoie a été entreprise début 1941. Le projet du raccordement est aussi ancien que les projets d'arrivée du chemin de fer à Genève. Le premier projet de gare connu remonte à 1845, elle devait se situer à Longemalle, au plus près des quartiers commerçants du centre. C'est finalement l'emplacement de Cornavin qui est retenu pour la gare de la ligne Lyon-Genève, inaugurée en 1858, où vient se raccorder peu de temps après la ligne Lausanne-Genève. Il manque une liaison vers la ligne Annecy-Annemasse. Une convention à ce sujet est signée avec la France en juillet 1869 et approuvée le 24 novembre suivant par le Conseil fédéral et le gouvernement français. Le 5 février 1870, le Grand Conseil genevois autorise l'Etat à s'engager à construire le tronçon Genève - frontière française, mais la guerre de 1870 vient tout remettre en question. Il faut attendre le 22 juin 1877 pour qu'un arrêté fédéral consacre le tracé du raccordement, mais des discussions sur un éventuel tracé par Veyrier empêchent toute réalisation. Incapable de prendre parti dans le débat, le gouvernement genevois décide de ne construire que le tronçon Annemasse-Eaux-Vives, inauguré le 27 mai 1888. La construction débutée en 1941 se base sur un projet de tracé remontant à 1894. Les locomotives à vapeur à la rescousse in Les transports publics, An. 4, no 12 (Décembre 1948)
[article]
Titre : Les locomotives à vapeur à la rescousse Type de document : texte imprimé Année de publication : 1948 Article en page(s) : P. 18 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Utilisation
[Année] 1948
[Compagnie] CFF (Suisse)Index. décimale : 4318 Chemin de fer interurbain et vicinal - réseau - exploitation, sécurité, signaux, signalisation Résumé : En raison d'un manque de locomotives électriques pour assurer leur important trafic, les CFF doivent remettre en service des locomotives à vapeur. Les jours ouvrables, ce sont 60 à 70 machines à vapeur qui sont utilisées, totalisant 6'500 km de parcours quotidien. Elles consomment beaucoup de charbon, qui coûte par ailleurs très cher. D'importantes commandes de locomotives électriques sont en cours d'exécution, les locomotives à vapeur sont appelées à disparaître à nouveau.
in Les transports publics > An. 4, no 12 (Décembre 1948) . - P. 18[article] Les locomotives à vapeur à la rescousse [texte imprimé] . - 1948 . - P. 18.
Langues : Français
in Les transports publics > An. 4, no 12 (Décembre 1948) . - P. 18
Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] Locomotive à vapeur
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Utilisation
[Année] 1948
[Compagnie] CFF (Suisse)Index. décimale : 4318 Chemin de fer interurbain et vicinal - réseau - exploitation, sécurité, signaux, signalisation Résumé : En raison d'un manque de locomotives électriques pour assurer leur important trafic, les CFF doivent remettre en service des locomotives à vapeur. Les jours ouvrables, ce sont 60 à 70 machines à vapeur qui sont utilisées, totalisant 6'500 km de parcours quotidien. Elles consomment beaucoup de charbon, qui coûte par ailleurs très cher. D'importantes commandes de locomotives électriques sont en cours d'exécution, les locomotives à vapeur sont appelées à disparaître à nouveau.
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