Genève / G. Péhelle in Connaissance du rail, No 234 (mars 2001)

Public ISBD [article]  inConnaissance du rail > No 234 (mars 2001) . - P. 19-20 Titre : Genève : retour de la motrice de tramway 125 Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Péhelle, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 19-20 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] 122-131 [Mots-clefs] 125 [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Ce 2/2 [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Genève (canton) [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Préservation [Mots-clefs] Restauration [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Valais [Mots-clefs] Vaud [Compagnie] AGMT [Compagnie] BC (Suisse) [Compagnie] CGTE [Compagnie] MC (Suisse) [Année] 1920-2000 Résumé : L'automotrice 125 fait partie de la série 122-131 livrée en 1920 à la CGTE. Jusqu'en 1951, elle a été affectée à la ligne de ceinture, puis à la ligne 5 avant d'être vendue au chemin de fer Martigny-Châtelard en 1961. Les premiers travaux d'adaptation en vue de l'utiliser comme véhicule de service avaient été réalisés lorsque de nouvelles prescriptions conduisirent à l'abandon de ce projet. C'est ainsi que la 125 se retrouve en 1974 sur le chemin de fer touristique Blonay-Chamby. Ce dernier connaissant des problèmes de place, décide en 1997 de louer ce véhicule à l'AGMT pour une période de 10 ans, reconductible. Entre 1997 et 2000, la 125 a bénéficié d'importants travaux de restauration. Elle a été remise en service le 22 octobre 2000. [article] Genève : retour de la motrice de tramway 125 [texte imprimé] / G. Péhelle, Auteur . - 2001 . - P. 19-20. Langues : Français in Connaissance du rail > No 234 (mars 2001) . - P. 19-20 Catégories : [Mots-clefs] 122-131 [Mots-clefs] 125 [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Ce 2/2 [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Genève (canton) [Mots-clefs] Histoire [Mots-clefs] Préservation [Mots-clefs] Restauration [Mots-clefs] Suisse [Mots-clefs] Tramway électrique [Mots-clefs] Valais [Mots-clefs] Vaud [Compagnie] AGMT [Compagnie] BC (Suisse) [Compagnie] CGTE [Compagnie] MC (Suisse) [Année] 1920-2000 Résumé : L'automotrice 125 fait partie de la série 122-131 livrée en 1920 à la CGTE. Jusqu'en 1951, elle a été affectée à la ligne de ceinture, puis à la ligne 5 avant d'être vendue au chemin de fer Martigny-Châtelard en 1961. Les premiers travaux d'adaptation en vue de l'utiliser comme véhicule de service avaient été réalisés lorsque de nouvelles prescriptions conduisirent à l'abandon de ce projet. C'est ainsi que la 125 se retrouve en 1974 sur le chemin de fer touristique Blonay-Chamby. Ce dernier connaissant des problèmes de place, décide en 1997 de louer ce véhicule à l'AGMT pour une période de 10 ans, reconductible. Entre 1997 et 2000, la 125 a bénéficié d'importants travaux de restauration. Elle a été remise en service le 22 octobre 2000.

Première ligne de tramway à Dijon / G. Péhelle in Connaissance du rail, No 378/379 (septembre-octobre-novembre 2012)

Public ISBD [article]  inConnaissance du rail > No 378/379 (septembre-octobre-novembre 2012) . - P. 6-9 Titre : Première ligne de tramway à Dijon Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Péhelle, Auteur ; Yves Allain, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : P. 6-9 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Bâtiment [Mots-clefs] Caractéristique technique [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Construction [Mots-clefs] Côte d'Or (département) [Mots-clefs] Coût [Mots-clefs] Dépôt [Mots-clefs] Dijon [Mots-clefs] Dijon-Perrigny (dépôt) [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Mise en service [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Tracé [Mots-clefs] Tramway électrique [Année] 2012 [Ligne] Chenôve-Centre [Ligne] Dijon-gare [Ligne] Ligne T1 [Ligne] Ligne T2 [Ligne] Quetigny-Centre [Ligne] Valmy [Compagnie] DIVIA Index. décimale : 3111 Tramway et métro léger urbain - réseau - projet et ouverture de nouvelles lignes Résumé : Les deux lignes du nouveau réseau de tramway de Dijon sont mises en service en septembre et décembre 2012. Sur les 20 km de ligne, 15 km sont engazonnés. Elles desservent 76'000 habitations, 44'000 emplois et 38'000 étudiants; une fréquentation journalière de 90'000 voyageurs est attendue. Le tramway classique a été préféré au tramway sur pneu en raison de sa plus grande capacité et de sa fiabilité. Grâce à un achat groupé du matériel avec Brest, le coût de celui-ci a pu être limité, les rames Citadis revenant nettement moins cher qu'un tramway sur pneu. Le budget de 400 millions d'Euros a été respecté, soit un coût de 20 millions d'Euros au kilomètre. [article] Première ligne de tramway à Dijon [texte imprimé] / G. Péhelle, Auteur ; Yves Allain, Auteur . - 2012 . - P. 6-9. Langues : Français in Connaissance du rail > No 378/379 (septembre-octobre-novembre 2012) . - P. 6-9 Catégories : [Mots-clefs] Automotrice électrique [Mots-clefs] Bâtiment [Mots-clefs] Caractéristique technique [Mots-clefs] Compagnie [Mots-clefs] Construction [Mots-clefs] Côte d'Or (département) [Mots-clefs] Coût [Mots-clefs] Dépôt [Mots-clefs] Dijon [Mots-clefs] Dijon-Perrigny (dépôt) [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Infrastructure [Mots-clefs] Mise en service [Mots-clefs] Parc de véhicules [Mots-clefs] Réseau [Mots-clefs] Tracé [Mots-clefs] Tramway électrique [Année] 2012 [Ligne] Chenôve-Centre [Ligne] Dijon-gare [Ligne] Ligne T1 [Ligne] Ligne T2 [Ligne] Quetigny-Centre [Ligne] Valmy [Compagnie] DIVIA Index. décimale : 3111 Tramway et métro léger urbain - réseau - projet et ouverture de nouvelles lignes Résumé : Les deux lignes du nouveau réseau de tramway de Dijon sont mises en service en septembre et décembre 2012. Sur les 20 km de ligne, 15 km sont engazonnés. Elles desservent 76'000 habitations, 44'000 emplois et 38'000 étudiants; une fréquentation journalière de 90'000 voyageurs est attendue. Le tramway classique a été préféré au tramway sur pneu en raison de sa plus grande capacité et de sa fiabilité. Grâce à un achat groupé du matériel avec Brest, le coût de celui-ci a pu être limité, les rames Citadis revenant nettement moins cher qu'un tramway sur pneu. Le budget de 400 millions d'Euros a été respecté, soit un coût de 20 millions d'Euros au kilomètre.

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