Association genevoise du musée des tramways
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[article] Titre : | Eurostar Bruxelles-Londres : lent démarrage | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Bernard Collardey, Auteur | Article en page(s) : | P. 49 | Langues : | Français | Catégories : | [Mots-clefs] Angleterre [Mots-clefs] Belgique [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Eurostar [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Fréquentation [Mots-clefs] Transport de voyageur [Année] 1994-1995 [Ligne] Bruxelles [Ligne] Londres [Compagnie] SNCB
| Résumé : | Sur la relation Bruxelles-Londres, les eurostars mis en service par la SNCB connaissent un taux de fréquentation extrèmement faible. Ainsi, lors des premières semaines d'exploitation, on comptait entre 40 et 100 voyageurs au départ ou à l'arrivée à Bruxelles, alors qu'une rame offre 794 places. Certains week-end, il y'eut moins de passager que de personnel d'accompagnement. Ces mauvais résultats tiennent d'une part aux horaires qui, si ils permettent de passer une petite journée à Londres ne laissent pas cette possibilité à Bruxelles, ainsi qu'à la concurrence de l'avion. La progression de l'offre, ainsi que l'ouverture en 1997 de la ligne à grande vitesse belge, devraient permettre d'améliorer la situation. | in Voies ferrées > 89 (mai-juin 1995) . - P. 49
[article] Eurostar Bruxelles-Londres : lent démarrage [texte imprimé] / Bernard Collardey, Auteur . - P. 49. Langues : Français in Voies ferrées > 89 (mai-juin 1995) . - P. 49 Catégories : | [Mots-clefs] Angleterre [Mots-clefs] Belgique [Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Eurostar [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] Fréquentation [Mots-clefs] Transport de voyageur [Année] 1994-1995 [Ligne] Bruxelles [Ligne] Londres [Compagnie] SNCB
| Résumé : | Sur la relation Bruxelles-Londres, les eurostars mis en service par la SNCB connaissent un taux de fréquentation extrèmement faible. Ainsi, lors des premières semaines d'exploitation, on comptait entre 40 et 100 voyageurs au départ ou à l'arrivée à Bruxelles, alors qu'une rame offre 794 places. Certains week-end, il y'eut moins de passager que de personnel d'accompagnement. Ces mauvais résultats tiennent d'une part aux horaires qui, si ils permettent de passer une petite journée à Londres ne laissent pas cette possibilité à Bruxelles, ainsi qu'à la concurrence de l'avion. La progression de l'offre, ainsi que l'ouverture en 1997 de la ligne à grande vitesse belge, devraient permettre d'améliorer la situation. |
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