[article] 
inVoies ferrées > 86 (novembre-décembre 1994) . - P. 6-15

Titre :	Le rail en Haute-Loire : grandeur et décadence
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Bernard Collardey, Auteur
Article en page(s) :	P. 6-15
Langues :	Français
Catégories :	[Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Haute-Loire (département) [Mots-clefs] Histoire [Compagnie] PLM [Compagnie] SNCF [Ligne] Firminy [Ligne] Langogne [Ligne] Le Puy-en-Velay [Ligne] Nimes [Ligne] St-Etienne [Ligne] St-Georges-d'Aurac [Ligne] St-Germain des Fossés [Ligne] St-Rambert [Année] 1857-1994
Résumé :	La compagnie SZU est née de la fusion entre le BZUe (Uetlibergbahn) et le SiTB (Sihltalbahn). L'électrification, antérieure à la fusion, utilise deux tensions différentes. Ces deux lignes sont intégrées au RER zurichois sous les indices S10 et S4. Le fort trafic a nécessité ces dernières années l'acquisition de nouveaux véhicules et l'exploitation par bus de la section terminale de la ligne du Sihltal aux heures de pointe afin de concentrer les ressources sur la première partie de celle-ci. Entre 1992 et 1993, le trafic de la ligne S4 a progressé de 4% et celui de la S10 de 37%.

[article] Le rail en Haute-Loire : grandeur et décadence [texte imprimé] / Bernard Collardey, Auteur . - P. 6-15.
Langues : Français
in Voies ferrées > 86 (novembre-décembre 1994) . - P. 6-15

Catégories :

[Mots-clefs] Chemin de fer [Mots-clefs] Exploitation [Mots-clefs] France [Mots-clefs] Haute-Loire (département) [Mots-clefs] Histoire [Compagnie] PLM [Compagnie] SNCF [Ligne] Firminy [Ligne] Langogne [Ligne] Le Puy-en-Velay [Ligne] Nimes [Ligne] St-Etienne [Ligne] St-Georges-d'Aurac [Ligne] St-Germain des Fossés [Ligne] St-Rambert [Année] 1857-1994

Résumé :

La compagnie SZU est née de la fusion entre le BZUe (Uetlibergbahn) et le SiTB (Sihltalbahn). L'électrification, antérieure à la fusion, utilise deux tensions différentes. Ces deux lignes sont intégrées au RER zurichois sous les indices S10 et S4. Le fort trafic a nécessité ces dernières années l'acquisition de nouveaux véhicules et l'exploitation par bus de la section terminale de la ligne du Sihltal aux heures de pointe afin de concentrer les ressources sur la première partie de celle-ci. Entre 1992 et 1993, le trafic de la ligne S4 a progressé de 4% et celui de la S10 de 37%.