Association genevoise du musée des tramways
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Histoire d'une ligne / Sébastien Jacobi in Voies ferrées, 1 (septembre-octobre 1980)
[article]
Titre : Histoire d'une ligne : le Nyon - St-Cergue - Morez Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Jacobi, Auteur ; William Lachenal, Collaborateur Article en page(s) : P. 51-65 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concession
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Jura (département)
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Passage à niveau
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Suppression
[Mots-clefs] Tracé
[Mots-clefs] Vaud
[Mots-clefs] Voie
[Mots-clefs] Voiture
[Mots-clefs] Wagon
[Compagnie] CFEJ
[Compagnie] MLC
[Compagnie] NStCM
[Ligne] 155
[Ligne] La Cure
[Ligne] Morez
[Ligne] Nyon
[Année] 1892-1980Résumé : Les premières études pour une ligne entre Nyon et St-Cergue ont été entreprises en 1892 déjà. Les projets en Suisse incitent les français à étudier une ligne Morez - La Cure. La ligne devient donc internationale. Les travaux de construction débutent en 1912, mais la guerre de 1914/18 vient fortement les ralentir. La ligne est mise en service en 1916 de Nyon à St-Cergue, en 1917 entre St-Cergue et La Cure et en 1921 de La Cure à Morez. Un temps assurée par le NStCM, l'exploitation de la section française est reprise par le Département du Jura en 1932. En 1958, le tronçon français est supprimé. Le parc de véhicules se compose de 7 automotrices, 13 voitures et une trentaine de wagons. Contrairement à l'infrastructure, il n'a pas connu de renouvellement depuis l'ouverture de la ligne. Un rapport de 1972 proposant la suppression de la ligne a provoqué une forte réaction locale et une nouvelle étude de l'avenir du réseau a été entreprise.
in Voies ferrées > 1 (septembre-octobre 1980) . - P. 51-65[article] Histoire d'une ligne : le Nyon - St-Cergue - Morez [texte imprimé] / Sébastien Jacobi, Auteur ; William Lachenal, Collaborateur . - P. 51-65.
Langues : Français
in Voies ferrées > 1 (septembre-octobre 1980) . - P. 51-65
Catégories : [Mots-clefs] Automotrice électrique
[Mots-clefs] Caractéristique technique
[Mots-clefs] Chemin de fer privé
[Mots-clefs] Concession
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Infrastructure
[Mots-clefs] Jura (département)
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Parc de véhicules
[Mots-clefs] Passage à niveau
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Suppression
[Mots-clefs] Tracé
[Mots-clefs] Vaud
[Mots-clefs] Voie
[Mots-clefs] Voiture
[Mots-clefs] Wagon
[Compagnie] CFEJ
[Compagnie] MLC
[Compagnie] NStCM
[Ligne] 155
[Ligne] La Cure
[Ligne] Morez
[Ligne] Nyon
[Année] 1892-1980Résumé : Les premières études pour une ligne entre Nyon et St-Cergue ont été entreprises en 1892 déjà. Les projets en Suisse incitent les français à étudier une ligne Morez - La Cure. La ligne devient donc internationale. Les travaux de construction débutent en 1912, mais la guerre de 1914/18 vient fortement les ralentir. La ligne est mise en service en 1916 de Nyon à St-Cergue, en 1917 entre St-Cergue et La Cure et en 1921 de La Cure à Morez. Un temps assurée par le NStCM, l'exploitation de la section française est reprise par le Département du Jura en 1932. En 1958, le tronçon français est supprimé. Le parc de véhicules se compose de 7 automotrices, 13 voitures et une trentaine de wagons. Contrairement à l'infrastructure, il n'a pas connu de renouvellement depuis l'ouverture de la ligne. Un rapport de 1972 proposant la suppression de la ligne a provoqué une forte réaction locale et une nouvelle étude de l'avenir du réseau a été entreprise.